Remède aux bouffées de chaleur

Remède aux bouffées de chaleur

Essayez ces petits fruits américains

Chères lectrices,

89,6 % [1].

C’est la probabilité que vous ayez déjà vécu l’une des situations suivantes :

    • Vous vous réveillez en pleine nuit, trempée de sueur
    • Puis, vous grelottez le reste de la nuit car votre chemise de nuit et vos draps mouillés sont devenus glacés
    • Être fatiguée le jour suivant à cause de cette mauvaise nuit
    • Terminer la journée par une dispute avec votre partenaire
    • Être prise par une soudaine bouffée de chaleur en pleine réunion… avoir le front en sueur et les joues brûlantes au point de devoir quitter la salle précipitamment
    • Avoir le cœur qui s’emballe
    • Être en nage dans vos vêtements

Les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes changent radicalement la vie.

On a longtemps pensé qu’elles ne duraient qu’un an, au moment de la ménopause, autour de la cinquantaine.

Aujourd’hui, on découvre que la période des bouffées de chaleur dure en moyenne plus longtemps : entre 2 à 5 ans. Elles apparaissent à la périménopause et cessent souvent quelques années après le début de la ménopause. 15 % des femmes les subissent même pendant 30 ans [2] !

Beaucoup se plaignent aussi d’avoir une humeur changeante et d’être excessivement émotives dans ces moments.

Quelle est l’origine des bouffées de chaleur ?

La ménopause est marquée par des baisses de sécrétion d’hormones.

Dans un premier temps, l’ovaire cesse de sécréter de la progestérone – l’hormone spécifique de la grossesse [3]. Les cycles vont alors devenir anarchiques (plus longs, plus courts, plus douloureux) jusqu’à ce qu’elles finissent pour de bon.

Ensuite, vos sécrétions d’œstrogènes diminuent. Cette chute est responsable des bouffées de chaleur, et des sécheresses vaginales.

Avec la chute des œstrogènes, on observe que la région du cerveau qui contrôle la température du corps, l’hypothalamus se met à considérer que votre corps est surchauffe (sans qu’on comprenne bien pourquoi).

Dans la panique, l’hypothalamus ordonne au système nerveux central d’évacuer du corps l’excès de chaleur supposé.

Vos vaisseaux périphériques vont alors se dilater, et vos glandes sébacées vont s’activer. Ces mécanismes peuvent faire monter la température de la peau de 2,5°C [2]. C’est alors que vous sentez la bouffée de chaleur vous envahir.

Voici les bonnes habitudes qui rendent les bouffées de chaleur plus tolérables

Pour mieux gérer vos bouffées de chaleur, essayez les conseils du Dr Danielle Roux-Sitruk [3] :

  • Choisissez des vêtements confortables, en lin ou en coton – mais pas en matière synthétique.
  • Évitez les pulls à col roulé qui risquent d’accentuer les bouffées de chaleur.
  • Ne mangez pas trop de plats épicés. Attention à ne pas boire trop d’alcool.
  • Essayez de toujours avoir une bouteille d’eau fraîche avec vous.
  • Si vous le pouvez, travaillez dans une pièce bien ventilée… à côté de la fenêtre ou d’un ventilateur.

Les huiles essentielles de palmarosa ou de sauge sclarée mélangées à un savon liquide ou un lait pour le corps sont efficaces pour maîtriser la transpiration soudaine.

Et les traitements hormonaux substitutifs ?

C’est un sujet très complexe qui mérite d’être traité à part.

En résumé, les traitements hormonaux substitutifs (THS) proposés ont des résultats mitigés.

Leur nocivité à long terme reste controversée [2].

Il pourrait s’écouler encore des dizaines d’années avant que la communauté scientifique ne démontre avec certitude que les THS sont sans danger.

En attendant, pour vous soulager immédiatement, il existe des plantes reconnues pour atténuer les bouffées de chaleur.

Solutions naturelles : les plantes

Les plantes sont la meilleure alternative aux traitements hormonaux substitutifs.

1. Comment intégrer les plantes dans votre alimentation

Dans votre alimentation, vous pouvez facilement obtenir des phytohormones, douces et actives.

Les phytohormones semblent plus efficaces sur les femmes qui subissent déjà des bouffées de chaleur fréquentes (5 par jour) [3].

Les aliments les plus riches en phytohormones sont les lentilles, le soja et les haricots rouges. La nature a bien fait les choses, puisqu’ils sont délicieux et faciles à accommoder.

Thierry Souccar explique qu’on en trouve aussi en quantités plus faibles dans les pois chiches, les haricots verts, les brocolis, les asperges cuites, les groseilles, les pamplemousses, les raisins secs, les noisettes, et les cacahuètes [2].

Remarque : Beaucoup vous diront que les phytohormones du soja provoquent le cancer (du sein en particulier). Ces attaques sont largement exagérées. La dernière synthèse d’essais cliniques publiée en 2014 a conclu que le soja diminuait marginalement le risque de cancer [4].

C’est qu’il faut retenir, c’est que l’impact sur le cancer est minime… Tellement imperceptible qu’on peine à le quantifier. C’est le point en commun entre toutes les études (positives ou négatives) sur le soja – elles ne remarquent aucune variation significative.

D’après une autre source, consommer régulièrement du soja n’aurait pas d’effet sur le risque de cancer du sein (ni d’augmentation, ni de réduction) [5].

Bien sûr, les personnes atteintes de cancer devraient limiter le soja par précaution. Mais plus généralement, personne ne devrait abuser du soja. De même avec tous les aliments. Cela va de soi.

Par le passé, les Asiatiques, eux-mêmes, mangeaient du soja avec parcimonie [5].

2. Complément à base de plantes

Une des plantes les plus efficaces contre les bouffées de chaleur est l’actée à grappes noires (Cimicifuga racemosa).

L’actée à grappes noires est surprenante car elle ne contient pas de phyto-œstrogènes. Son mode d’action est différent : il semblerait qu’elle agisse sur les récepteurs de la sérotonine [6].

Cela fait longtemps que les Indiennes d’Amérique du Nord utilisent l’actée à grappes noires pour calmer les règles douloureuses [7].

Depuis les années 1940, les thérapeutes la prescrivent pour atténuer les symptômes de la ménopause : en particulier les bouffées de chaleur, mais également l’excès de sueur, les troubles du sommeil, la dépression et l’anxiété [6].

Dans la plupart des études, les comprimés utilisés sont des extraits normalisés à 1 mg de 27-déoxyactéine. La dose est 1 à 2 comprimés, 2 fois par jour.

L’actée à grappes noires est souvent couplée au millepertuis – qui cible les sautes d’humeur fréquentes à la ménopause [6]. Ensemble, ils forment un cocktail pour les symptômes majeurs de la ménopause.

L’actée à grappes noires est contre-indiquée pendant les grossesses et l’allaitement… ainsi que chez les personnes ayant le foie endommagé ou qui prennent des médicaments qui fragilisent le foie.

Lisez de près les étiquettes, il s’agit bien de l’actée à grappes noires, et non à grappes bleues ou blanches qui, elles, sont toxiques.

Vous trouverez de l’actée à grappes noires en pharmacie et dans les bons magasins de diététique.

Sur Internet, vous en trouverez notamment chez D.Plantes et Biovéa.

Bien à vous,

Eric Müller

PS : Bien entendu, nous ne touchons aucune commission ni rémunération en échange des produits que nous recommandons. Ceux-ci sont sélectionnés selon des critères stricts de composition, d’ingrédients et de qualité de fabrication.

Sources:

Essayez ces petits fruits américainsChères lectrices,89,6 % [1].C’est la probabilité que vous ayez déjà vécu l’une des situations suivantes :<li style="list-style-type: none;" data-mce-style="list-style-type: none;"><ul><li>Vous vous réveillez <u>en pleine nuit</u>, trempée de sueur</li> </ul> </li> <li style="list-style-type: none;" data-mce-style="list-style-type: none;"><ul><li>Puis, vous grelottez le reste de la nuit car votre chemise de nuit et vos draps mouillés sont devenus <u>glacés</u></li> </ul> </li> <li style="list-style-type: none;" data-mce-style="list-style-type: none;"><ul><li>Être fatiguée le jour suivant à cause de cette <u>mauvaise</u> nuit</li> </ul> </li> <li style="list-style-type: none;" data-mce-style="list-style-type: none;"><ul><li>Terminer la journée par une dispute avec votre partenaire</li> </ul> </li> <li style="list-style-type: none;" data-mce-style="list-style-type: none;"><ul><li>Être prise par une soudaine bouffée de chaleur <u>en pleine réunion</u>… avoir le front en sueur et les joues brûlantes au point de devoir quitter la salle précipitamment</li> </ul> </li> <li style="list-style-type: none;" data-mce-style="list-style-type: none;"><ul><li>Avoir le cœur qui s’emballe</li> </ul> </li> <li style="list-style-type: none;" data-mce-style="list-style-type: none;"><ul><li>Être en nage dans vos vêtements</li> </ul> </li> Les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes changent radicalement la vie.On a longtemps pensé qu’elles ne duraient qu’un an, au moment de la ménopause, autour de la cinquantaine.Aujourd’hui, on découvre que la période des bouffées de chaleur dure en moyenne plus longtemps : entre 2 à 5 ans. Elles apparaissent à la périménopause et cessent souvent quelques années après le début de la ménopause. 15 % des femmes les subissent même pendant 30 ans [2] !Beaucoup se plaignent aussi d’avoir une humeur changeante et d’être excessivement émotives dans ces moments.Quelle est l’origine des bouffées de chaleur ?La ménopause est marquée par des baisses de <strong>sécrétion d’hormones</strong>.Dans un premier temps, <strong>l’ovaire cesse de sécréter de la progestérone</strong> – l’hormone spécifique de la grossesse [3]. Les cycles vont alors devenir anarchiques (plus longs, plus courts, plus douloureux) jusqu’à ce qu’elles finissent <u>pour de bon</u>.Ensuite, vos sécrétions d’œstrogènes diminuent. Cette chute est responsable des bouffées de chaleur, et des sécheresses vaginales.Avec la chute des œstrogènes, on observe que la région du cerveau qui contrôle la température du corps, <strong>l’hypothalamus se met à considérer que votre corps est surchauffe</strong> (sans qu’on comprenne bien pourquoi).Dans la panique, l’hypothalamus ordonne au système nerveux central d’évacuer du corps l’excès de chaleur <u>supposé</u>.Vos vaisseaux périphériques vont alors se dilater, et vos glandes sébacées vont s’activer. Ces mécanismes peuvent faire monter la température de la peau de 2,5°C [2]. C’est alors que vous sentez la bouffée de chaleur vous envahir.Voici les bonnes habitudes qui rendent les bouffées de chaleur plus tolérablesPour mieux gérer vos bouffées de chaleur, essayez les conseils du Dr Danielle Roux-Sitruk [3] :<li>Choisissez des vêtements confortables, en lin ou en coton – mais pas en matière synthétique.</li><li>Évitez les pulls à col roulé qui risquent d’accentuer les bouffées de chaleur.</li><li>Ne mangez pas trop de plats épicés. Attention à ne pas boire trop d’alcool.</li><li>Essayez de toujours avoir une bouteille d’eau fraîche avec vous.</li><li>Si vous le pouvez, travaillez dans une pièce bien ventilée… à côté de la fenêtre ou d’un ventilateur.</li> Les huiles essentielles de <strong>palmarosa</strong> ou de <strong>sauge sclarée</strong> mélangées à un savon liquide ou un lait pour le corps sont efficaces pour maîtriser la transpiration soudaine.Et les traitements hormonaux substitutifs ?C’est un sujet très complexe qui mérite d’être traité à part.En résumé, les traitements hormonaux substitutifs (THS) proposés ont des résultats mitigés.Leur nocivité à long terme reste controversée [2].Il pourrait s’écouler encore des dizaines d’années avant que la communauté scientifique ne démontre avec certitude que les THS sont sans danger.En attendant, pour vous soulager immédiatement, il existe des plantes reconnues pour atténuer les bouffées de chaleur.Solutions naturelles : les plantesLes plantes sont la meilleure alternative aux traitements hormonaux substitutifs.1. Comment intégrer les plantes dans votre alimentationDans votre alimentation, vous pouvez facilement obtenir des phytohormones, douces et actives.Les phytohormones semblent plus efficaces sur les femmes qui <u>subissent déjà</u> des bouffées de chaleur fréquentes (5 par jour) [3].Les aliments les plus riches en phytohormones sont les <strong>lentilles, le soja et les haricots rouges</strong>. La nature a bien fait les choses, puisqu’ils sont délicieux et faciles à accommoder.Thierry Souccar explique qu’on en trouve aussi en quantités plus faibles dans les <strong>pois chiches, les haricots verts, les brocolis, les asperges cuites, les groseilles, les pamplemousses, les raisins secs, les noisettes, et les cacahuètes</strong> [2].<u>Remarque</u> : Beaucoup vous diront que les phytohormones du soja provoquent le cancer (du sein en particulier). Ces attaques sont largement <u>exagérées</u>. La dernière synthèse d’essais cliniques publiée en 2014 a conclu que <u>le soja diminuait <strong>marginalement</strong></u> le risque de cancer [4].C’est qu’il faut retenir, c’est que l’impact sur le cancer est <u>minime</u>… Tellement imperceptible qu’on peine à le quantifier. C’est le point en commun entre toutes les études (positives ou négatives) sur le soja – elles ne remarquent aucune variation <u>significative</u>.D’après une autre source, consommer régulièrement du soja n’aurait pas d’effet sur le risque de cancer du sein (ni d’augmentation, ni de réduction) [5].Bien sûr, les personnes atteintes de cancer devraient limiter le soja par précaution. Mais plus généralement, personne ne devrait abuser du soja. De même avec tous les aliments. Cela va de soi.Par le passé, les Asiatiques, eux-mêmes, mangeaient du soja avec parcimonie [5].2. Complément à base de plantesUne des plantes les plus efficaces contre les bouffées de chaleur est l’<strong>actée à grappes noires </strong>(<em>Cimicifuga racemosa</em>).L’actée à grappes noires est <strong>surprenante</strong> car elle <u>ne contient pas de phyto-œstrogènes</u>. Son mode d’action est différent : il semblerait qu’elle agisse sur les récepteurs de la sérotonine [6].Cela fait longtemps que les Indiennes d’Amérique du Nord utilisent l’actée à grappes noires pour <strong>calmer les règles douloureuses</strong> [7].Depuis les années 1940, les thérapeutes la prescrivent pour <strong>atténuer les symptômes de la ménopause </strong>: en particulier les bouffées de chaleur, mais également l’excès de sueur, les troubles du sommeil, la dépression et l’anxiété [6].Dans la plupart des études, les comprimés utilisés sont des extraits normalisés à <strong>1 mg de 27-déoxyactéine</strong>. La dose est 1 à 2 comprimés, 2 fois par jour.L’actée à grappes noires est souvent couplée au <strong>millepertuis</strong> – qui cible les sautes d’humeur fréquentes à la ménopause [6]. Ensemble, ils forment un cocktail pour les symptômes majeurs de la ménopause.L’actée à grappes noires est <u>contre-indiquée pendant les grossesses et l’allaitement</u>… ainsi que chez les <u>personnes ayant le <strong>foie endommagé</strong> ou qui prennent des médicaments qui fragilisent le foie</u>.Lisez de près les étiquettes, il s’agit bien de l’actée à grappes <strong><u>noires</u></strong>, et non à grappes <u>bleues ou blanches</u> qui, elles, sont toxiques.Vous trouverez de l’actée à grappes noires en pharmacie et dans les bons magasins de diététique.Sur Internet, vous en trouverez notamment chez D.Plantes et Biovéa.Bien à vous,Eric MüllerPS : Bien entendu, nous ne touchons aucune commission ni rémunération en échange des produits que nous recommandons. Ceux-ci sont sélectionnés selon des critères stricts de composition, d'ingrédients et de qualité de fabrication.
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BOURGET
2 années il y a

Bonjour, pour dire que j’ai des bouffées de chaleur depuis 15 années et à ce jour encore et je ne suis pas la seule femme dans ce cas.. Je ne sais d’où vient cette fausse information de bouffées de chaleur qui durent de 2 à 5 ans ? Il faut vraiment arrêter de dire des sottises. MN B.

Isabelle SOL
4 années il y a

Bonjour, je suis ménopausée depuis l’été 2017 (pré-ménopause depuis 2015) où j’ai commencé à souffrir de bouffées de chaleur avec sensation d’étouffer. Mon médecin traitant-homéopathe m’a prescrit Folliculinum 4ch (5 granules/jour à distance des repas) et Luteinum 15ch (1 tube de globules 2 fois/mois). Cela a bien marché jusqu’à l’été 2018 où il m’a rajouté Lachesis Mutus 5ch 3 granules dès le début de la bouffée. Cela les calme bien, j’en ai toujours un tube sur moi.

Jocelyne
4 années il y a

Ricord, j’ai débuté ma ménopause à 48 ans, j’en ai 67 et ça continue mais… moins intense. Les gélules d’HUILE D’ONAGRE à raison de 3 par jour, m’ont beaucoup aidée.
Bonne chance et courage.

lola
4 années il y a

et le cimifuga en homéo ça marcherait ?

Suzanne Legault
4 années il y a

Dans vos publications, j’aimerais que vous fassiez une distinction entre la THS à partir d’hormones bio-identiques et la THS qui utilise les molécules brevetées par les grandes pharmaceutiques qui ne peuvent porter le nom d’oestrogène ou progestérone car elles n’en sont pas. D’ailleurs, il est dommage que vous n’ayez pas creusé ce sujet avec sérieux car il y a ici un impact sérieux sur la santé des femmes.

consuelo reverdi-fernandez
4 années il y a

bonjour et les femmes qui ont des antecedants de cancer du sein ont leur propose pas grand chose,j’ai essaye un ths pendant 1an pas d’amelioration ensuite aucune aide de ma genico,du medecin traitant,ect cela dure depuis 17 ans,j’ai essaye les huiles essentielles et autre medecines naturelles,c’est lamentable au 21è siecle de voir ça,je suis ecoeuree!!!!!!!!!

BRIAND
4 années il y a

La consommation des produits laitiers est pour une grande part dans les bouffées de chaleur. Leur arrêt 15 jours et reprise très modérée permettant de voir ceux qui ne conviennent pas, améliore nettement la vie courante, sans privation…( résultat constaté dans mes consultations).

Véronique TAVEL
4 années il y a

J’ai été ménopausée tard, à 58 ans, et je souffre de bouffées de chaleur modérées (je ne me réveille pas trempée) mais quand même gênantes. Mon endocrino-gynéco m’a formellement déconseillé les phyto-hormones, la sauge et le soja en particulier, car j’ai un fibrome utérin que les oestrogènes feraient re-grossir et saigner de plus belle. Pas simple de se soigner dans ces conditions ! actea racemosa en homéopathie ? Acthéane ? Qu’en pensez-vous ?

Josie13014
4 années il y a

Bonjour,

Je vous remercie pour cette lettre-mail très intéressante car elle m’a appris beaucoup de choses au sujet de la ménopause.
Je vais en suivre les conseils.

VDH
4 années il y a

Et pourquoi pas « Cher(s) lecteur(s) ???????
Les hommes ne sont-ils pas concernés ?

Danielle
4 années il y a

Essayez l’homéopathie: LACHESIS MUTUS.

Conrad
4 années il y a

Bonjour, j aime beaucoup vos articles, vous êtes de bons conseils !!! Je prends chaque jours, Omega 3, DHEA, magnésium, collagène, vitamine C, D, K
Par contre, pour ma ménopause, les plantes et autres remèdes n ont pas fonctionné sur moi.. j avais entre 10 à 15 bouffées de chaleur par nuit, je ne pouvais pratiquement plus bouger par des douleurs articulaires, je perdais mes cheveux par poignée, plus de libido, plus de sommeil, plus de sport (alors que je courais tous les 2 jours) etc..
depuis 2 mois, sous les conseils de mon médecin qui était passée par là. Elle m a prescrit un traitement hormonal (estradiol à mettre sur chaque bras et 1 comprimé de progestérone le soir avant d aller me coucher). En 2 mois, J ai tout retrouvé… la joie de vivre, ma féminité, le footing, le jardinage, l envie de vivre… que du bonheur !!! Même si je dois avoir un cancer du sein, de l utérus ou autres, avec le traitement, aucune importance, c est maintenant que je veux vivre (56 ans) et non à 70 et plus…
À très bientôt pour votre prochaine lettre
Laurence

Pierre
4 années il y a

Et les bouffées de chaleur chez les hommes ???

Ricord
4 années il y a

Dany R.
J’ai tout essayé pour mes bouffées de chaleur nocturnes qui perturbent mon sommeil et jusqu’à maintenant rien n’a marché.
Je ne sais plus quoi faire .
J’ai 77 ans et ça fait très longtemps que ça dure.

lola
4 années il y a
Reply to  Ricord

pour moi la même chose tout essayé pour les bouffées de chaleur nocturne même estreva arrange un peu mais pas parfaitement 2 pressions sur chaque cuisse et cela dure depuis 13ans!!

Jocelyne
4 années il y a
Reply to  Ricord

Je crois qu’il n’y a pas d’âge pour les chaleurs. J’ai débuté à 48 ans, j’en ai 67 et ça continue. Par contre, j’ai essayé l’HUILE D’ONAGRE et pour moi, j’ai eu de bons résultats. Les chaleurs ont diminué.
Bonne chance et courage…

Dourneau
4 années il y a

Bonjour,
Je tiens simplement à vous remercier car tous les articles que j’ai lu , tous les dossiers, sont vraiment geniaux et passionnants et très interressants. Merci beaucoup et j’espere continuer à vous lire et appliquer certains trucs dans mon quotidien ce qui est bon pour entretenir ma santé simplement. Merci encore. Loïc.

brando
5 années il y a

L’Actée à grappes noires (Cimicifuga racemosa, ou Actea racemosa) contient un phyto-œstrogène, je précise, une isoflavone: la formononétrine. Elle inhibe la prolifération des récepteurs aux oestrogènes (tout en diminuant le taux de LH et en augmentant légèrement celui de dopamine), et a, en conséquence un effet réducteur des bouffées
de chaleur.

Dune
5 années il y a

Je valide total le cimicifuga en feuilles pas en teinture mère. Ayant eu une ménopause violente et très précoce, cette petite plante pas chère (cimipax a l’epoque) a remis ma vie sur les bons rails!

Lola
4 années il y a
Reply to  Dune

regardez la composition ça fait fuir
Autres excipients: Silice colloïdale anhydre, Magnésium stéarate (E572), Amidon de maïs, Cellulose microcristalline (E460), Amidon glycolate sodique (type A), Pelliculage : Hypromellose (E464), Macrogol 400, Titane dioxyde (E171), Cellulose (E460) en poudre, Silice colloïdale anhydre

Elisabeth BARBIER
5 années il y a

bonjour,
il y a une racine adaptogène qui agit sur les effets secondaires des fluctuations hormonales: la maca.
A essayer en complément…sans effet secondaire.

Nathammvan
5 années il y a

Merci pour vos précieux conseils!
Je viens de lire ceux-ci juste après avoir commandé une crème à la progestérone proposée par Biovéa.
Est-ce une erreur?

YJ
6 années il y a

Bonjour, je suis parfaitement ok avec cette article, Les bouffées de chaleur chez les femmes ne doivent plus être des obstacles à leur bien-être, C’est vrai qu’environ une sur deux est directement impactée par ce phénomène naturel après 45 ans. La première des choses à faire est de consulter immédiatement sur médecin pour faire un diagnostic .. le THS, traitement hormonal substitutif, n’est pas aussi une fin en soi, cela dépend de la situation médicale de chaque femme en particulier .. mais franchement il peut y avoir des alternatives avec l’usage des produits phyto qui ont fait leurs preuves. En tout cas ce sujet ne doit pas être pris à la légère, j’en ai même consacré tout un site/blog complet sur le sujet qui sera pour vous je l’espère mesdames un guide informatif ultra-complet et précis. Ma compagne a elle aussi été touchée par ce problème et en tant qu’ancien pharmacien, j’ai décidé d’y consacré tout un blog .. http://bouffee-de-chaleur.info je commence aussi un autre blog sur la beauté et la minceur au féminin http://beaute-minceur.info En fait le bien-être est un sujet qui me passionne et me fait publier régulièrement des articles sur le sujet sur le net … Vos questions seront les bienvenues et je ne manquerai pas d’y répondre d’une façon ou d’une autre; sur ce site que je viens de découvrir et qui me semble plein d’informations à bientôt YJ

fae
4 années il y a
Reply to  YJ

je viens de lire l’article sur les bouffées de chaleur. J’en souffre et ne prends rien car ma mère est décédée d’un cancer du sein voilà 7 ans. Millepertuis, houblon, sauge sont semble t il déconseillés pour les personnes à risque, l’homéopathie ne me fait rien(ou peut être que sans ce serait pire?!) Y a t il un risque avec l’actée à grappes noires? Et comment sait on si le foie ne la supporte pas?
Merci pour la réponse

sandrine
8 années il y a

Bonjour,
Perso j utilise la sauge en comprimé 2x2x/jr et
contre les vertiges et cœur qui s’emballe 2comprimé d aubépine le matin
contre trouble du sommeil 2 valériane au repas

fatma
8 années il y a

pour venir à bout des bouffées de chaleur, que j’ai eu à subir pendant des mois, il n’ya rien de mieux que croquer une ou deux tomates par jour; C’est une recette trouvée dans un journal que j’ai expérimentée. Ca donne d’excellents résultats.

dany
6 années il y a
Reply to  fatma

je suis d ‘accord avec toi, j ‘ai remarqué que depuis que je mange des tomate cerises en grignotage, j ai moins de bouffées de chaleurs !

Geneviève
8 années il y a

Ménopausée paraît-il très tard, 58/59 ans, (perso, je pense que c’est bcp plus normal qu’à 40 ans), je n’ai pas connu à ce point ces désagréments ; une amie m’avait fait part du truc suivant : douche froide ! Le matin après la douche chaude/tiède de la toilette, 2/3 minutes de douche froide sont géniales pour démarrer la journée et le soir éventuellement si ça ne va pas fort après la journée de travail -métro boulot dodo + chef désagréable !- ça fait un bien incroyable… D’autre part, l’article récent sur les « bains dérivatifs » me font témoigner de la réussite de cette méthode par le froid.
En journée, pensez aussi à se tremper bras, avant-bras et coudes dans l’eau froide du lavabo. Là, j’ai 64 et c’est tjs très efficace. J’espère qu’il en sera de même pour celles qui en ont besoin !

SALAUN
8 années il y a

Pour ma part (bouffées de chaleur d’intensité moyenne sans souci de transpiration excessive) je prépare chaque jour une grande tasse d’infusion de sauge, que je bois froide et donc un peu amère, à un moment ou a un autre dans la journée. Cela résout totalement la gène … qui réapparaît immédiatement si j’oublie mon infusion ne serait-ce qu’une journée.

agnes G.
8 années il y a

Bonjour.
Merci pour vos articles, mais, quand penserez-vous à parler aussi de ces hommes qui sont sous traitement hormonal en raison d’un cancer de la prostate, et qui subissent aussi ces désagréments: bouffées de chaleur….Est-ce que ces compléments alimentaires et autres traitements par les plantes peuvent leur convenir aussi?
Merci de me répondre.

Leine
8 années il y a

Bonjour Monsieur Muller, ne nous faites pas perdre de temps à lire LES BONNES HABITUDES A PRENDRE. Nous, les femmes, savons tout cela depuis que nous existons.
Concernant le SOJA : du moment que Monsieur Michel DOGNA depuis longtemps, et l’a réécrit récemment, préconise son ABANDON TOTAL, alors il faut le prendre en compte, quand bien même d’autres sont moins prudents que lui en matière de santé alternative.
Somme toute, votre article est vide malgré le titre prometteur.
Merci quand même pour l’intention.
Leine

Annie B.
8 années il y a

En Amérique latine, les femmes connaissent bien la cimicifuga, qu’on trouve sous forme de crème à appliquer sur les seins et l’intérieur des bras et des cuisses, ça fonctionne assez bien pour les bouffées de chaleur et ce n’est pas très cher. Il me semble que c’est moins agressif que les pastilles, mais ce n’est peut-être qu’une impression, je ne suis pas chimiste ni biologiste!