Nourrissez vos neurones avant qu’ils ne dégénèrent

Nourrissez vos neurones avant qu’ils ne dégénèrent

Vous arrive-t-il de ne pas vous rappeler où vous avez laissé vos clés ? De ne plus vous souvenir du titre du film que vous avez vu la veille ou du prénom d’une personne dont vous avez récemment fait la connaissance ?

C’est très agaçant, mais pour la grande majorité d’entre nous, ces petits oublis sont ponctuels et ne sont absolument pas inquiétants.

Toutefois pour certaines personnes, ces oublis, s’ils sont récurrents, peuvent être les signes précurseurs de maladies dégénératives liées au vieillissement – Alzheimer, Parkinson, démence sénile…

Le vieillissement cérébral n’est pourtant pas une fatalité à condition d’agir précocement.

Certaines substances naturelles permettent d’enrayer, voire d’inverser ce phénomène. C’est le cas de la phosphatidylsérine, un phospholipide présent en grande quantité dans le cerveau.

Sachez reconnaître les premiers signes du vieillissement cérébral

Le cerveau est constitué d’environ 85 milliards de neurones. Ces cellules nerveuses communiquent entre elles grâce à des neurotransmetteurs tels que l’acétylcholine qui joue un rôle majeur dans le fonctionnement de la mémoire. C’est lui qui vous permet de retenir une information et de la retrouver lorsque vous en avez besoin.

L’érosion des capacités mnésiques est le résultat de différents phénomènes liés au vieillissement.

Avec l’âge, l’organisme, même en bonne santé, fabrique moins d’acétylcholine. Les vaisseaux qui irriguent le cerveau rétrécissent et se durcissent, et avec moins de sang et moins d’oxygène, les neurones ne peuvent plus synthétiser et libérer les neurotransmetteurs aussi bien qu’ils le devraient.

Enfin, le vieillissement réduit notre capacité d’assimilation de certains nutriments qui participent au bon fonctionnement du cerveau.

Les signes de déclin des capacités cognitives sont difficiles à identifier lorsque l’on se trouve dans les premiers stades du processus de vieillissement cérébral. Souvent, il faudra faire confiance à ce que nous dit notre environnement proche pour pouvoir réaliser qu’il y a peut-être un problème.

Parmi les premiers signes qui doivent alerter, on retiendra notamment :

  1. la baisse de l’attention (comme si la personne concernée était parfois « absente »),
  2. des trous de mémoire fréquents (oubli des noms propres, des mots usuels),
  3. une baisse de la capacité de raisonnement,
  4. ou encore une forte tendance dépressive et de repli sur soi (baisse de la motivation et du plaisir à faire les choses, troubles de l’humeur, désocialisation).

Ces signes ne doivent pas être pris à la légère car ils sont souvent présents dans la première phase « silencieuse » des démences séniles et maladies neurodégénératives comme Alzheimer.

En effet, chez les patients présentant un déclin cognitif à l’évaluation, 10 à 15 % d’entre eux développeront une maladie d’Alzheimer au bout d’un an et ils seront près de 80 % cinq à dix ans après l’évaluation initiale [1].

Dans la plupart des cas, les signes de déclin deviennent clairement perceptibles à partir de 65 ans. Mais ils peuvent parfois apparaître beaucoup plus tôt, autour de la quarantaine, voire avant comme l’attestent certaines études [2].

Le dépistage précoce de ces troubles constitue donc un enjeu de santé majeur car l’on sait qu’il faut agir le plus précocement possible pour inverser le processus de dégénérescence cognitive et de perte de mémoire.

Ces dépistages sont pourtant loin d’être systématiques pour les personnes de plus de 60 ans et ils sont quasiment inexistants pour les personnes plus jeunes.

Inversez le cours du temps grâce à la phosphatidylsérine

Les études menées pour trouver des solutions au vieillissement cérébral ont notamment permis d’identifier le rôle majeur joué par la phosphatidylsérine dans le fonctionnement de notre cerveau. Au-delà du cerveau, ce phospholipide se retrouve dans toutes les cellules.

Des anomalies des membranes cellulaires des neurones seraient l’une des principales causes des troubles de la mémoire liés au vieillissement. Dans cette hypothèse, l’administration de phosphatidylsérine permettrait de restaurer l’intégrité des membranes neuronales.

Concrètement, l’action de la phosphatidylsérine au sein du cerveau consiste à améliorer la vitesse de transmission de l’influx nerveux et à rééquilibrer les niveaux de certains neurotransmetteurs, dont l’acétylcholine. Ainsi, la phosphatidylsérine permettrait de lutter contre les effets du vieillissement sur les membranes cellulaires du cerveau.

Dans notre alimentation, la cervelle des mammifères constitue la seule source connue de phosphatidylsérine directement biodisponible.

Or on estime que l’apport alimentaire en phospholipides se situait auparavant entre 4 et 6 grammes par jour, mais qu’il a diminué de moitié car nous ne consommons presque plus la cervelle et les abats riches en phospholipides.

De plus, la synthèse de la phosphatidylsérine par notre organisme est complexe et demande une dépense énergétique importante qui peut être difficile à fournir en cas de maladie ou de vieillissement. C’est pourquoi un apport extérieur sous forme de supplément est recommandé pour prévenir et lutter contre toutes les formes de déclin cognitif liées au vieillissement.

Plus de 40 ans d’expérimentations médicales

Dès les années 1970, en France, en Italie, au Portugal et en Scandinavie, des extraits de cervelle animale riches en phosphatidylsérine ont été administrés à des personnes âgées afin de lutter contre différentes formes de démence, contre la perte de mémoire et contre la dépression.

Des études scientifiques de haute qualité méthodologique ont mis en avant l’intérêt incontestable de cette supplémentation pour l’optimisation du fonctionnement cognitif :

  1. En 1993, un essai clinique conduit auprès de 425 personnes âgées souffrant d’un grave déclin cognitif a montré que l’administration de 300 mg par jour de phosphatidylsérine durant six mois améliorait leurs performances cognitives [3].
  2. Une série d’essais cliniques effectuée sur plusieurs années auprès d’environ 500 sujets atteints de la maladie d’Alzheimer ou d’une autre forme de démence sénile, ont donné des résultats semblables [4].
  3. Un essai à double insu avec placebo auprès de 149 personnes âgées souffrant de pertes de la mémoire indique que l’administration de 100 mg de phosphatidylsérine, trois fois par jour durant trois mois, peut améliorer les résultats obtenus aux tests neuropsychologiques [5].
  4. Une étude préliminaire à double insu avec placebo auprès de dix femmes âgées souffrant de dépression nerveuse a montré que l’administration quotidienne pendant 30 jours de 300 mg d’un extrait de phospholipides cérébraux avait atténué l’intensité des symptômes de la dépression, en plus d’améliorer les performances cognitives des participantes [6].

Selon le Dr T. Crook, du Memory Assessment Clinic aux États-Unis, auteur d’une importante étude multicentrique chez des patients âgés, la phosphatidylsérine a démontré son potentiel pour rajeunir de plus d’une décennie « l’horloge cognitive » de patients souffrant de troubles neurodégénératifs sévères [7].

Certains chercheurs suggèrent également qu’une supplémentation préventive dès 40 ans, voire avant, serait encore plus bénéfique car c’est généralement à cet âge-là que le processus de déclin cognitif est enclenché.

Conseils pour choisir votre supplément nutritionnel de phosphatidylsérine

Les premières études sur les effets de la phosphatidylsérine portaient principalement sur sa version d’origine animale. Cette forme a depuis été abandonnée pour éviter les risques bactériens au profit de produits à base de soja, dont les résultats sont tout aussi prometteurs :

  • En 2000, une étude portant sur 30 sujets a été menée par des chercheurs israéliens. Après avoir suivi un protocole de traitement de 300 mg par jour de phosphatidylsérine végétale durant 12 semaines, les chercheurs ont rapporté une amélioration significative des capacités cognitives et de la mémoire chez les sujets traités [8].
  • En 2010, une étude japonaise conduite en double-aveugle avec placebo auprès de 78 personnes âgées souffrant de troubles de la mémoire a également montré un impact bénéfique d’une supplémentation de 100 à 300 mg de phosphatidylsérine de soja pendant 6 mois [9].

Toutes les études menées ont prouvé que la phosphatidylsérine est sans danger et sans effet secondaire. Toutefois, comme pour beaucoup de nutriments agissant sur le cerveau, il est conseillé de la prendre le matin pour éviter les troubles du sommeil.

Le protocole généralement recommandé par les thérapeutes est une cure de 300 mg de phosphatidylsérine pure pendant un mois, suivie d’une dose d’entretien de 100 mg par jour pendant 3 à 5 mois (ou même indéfiniment en cas de troubles cognitifs ou de la mémoire avérés).

Pour les personnes souffrant de dépression hivernale, de la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson, certains thérapeutes prescrivent des protocoles de 300 à 500 mg à prendre chaque jour et sans limite de durée.

Bien à vous,

Eric Müller

Sources:

Vous arrive-t-il de ne pas vous rappeler où vous avez laissé vos clés ? De ne plus vous souvenir du titre du film que vous avez vu la veille ou du prénom d'une personne dont vous avez récemment fait la connaissance ?C'est très agaçant, mais pour la grande majorité d'entre nous, ces petits oublis sont ponctuels et ne sont absolument pas inquiétants.Toutefois pour certaines personnes, ces oublis, s'ils sont récurrents, peuvent être les signes précurseurs de maladies dégénératives liées au vieillissement – Alzheimer, Parkinson, démence sénile…Le vieillissement cérébral n’est pourtant pas une fatalité à condition d'agir précocement.Certaines substances naturelles permettent d'enrayer, voire d'inverser ce phénomène. C’est le cas de la <span style="text-decoration: underline;" data-mce-style="text-decoration: underline;">phosphatidylsérine</span>, un phospholipide présent en grande quantité dans le cerveau.<span style="color: #005b99;" data-mce-style="color: #005b99;">Sachez reconnaître les premiers signes du vieillissement cérébral</span>Le cerveau est constitué d’environ 85 milliards de neurones. Ces cellules nerveuses communiquent entre elles grâce à des neurotransmetteurs tels que l’acétylcholine qui joue un rôle majeur dans le fonctionnement de la mémoire. C'est lui qui vous permet de retenir une information et de la retrouver lorsque vous en avez besoin.L'érosion des capacités mnésiques est le résultat de différents phénomènes liés au vieillissement.Avec l’âge, l’organisme, même en bonne santé, fabrique moins d’acétylcholine. Les vaisseaux qui irriguent le cerveau rétrécissent et se durcissent, et avec moins de sang et moins d’oxygène, les neurones ne peuvent plus synthétiser et libérer les neurotransmetteurs aussi bien qu'ils le devraient.Enfin, le vieillissement réduit notre capacité d'assimilation de certains nutriments qui participent au bon fonctionnement du cerveau.Les signes de déclin des capacités cognitives sont <span style="text-decoration: underline;" data-mce-style="text-decoration: underline;">difficiles à identifier</span> lorsque l'on se trouve dans les premiers stades du processus de vieillissement cérébral. Souvent, il faudra faire confiance à ce que nous dit notre environnement proche pour pouvoir réaliser qu'il y a peut-être un problème.Parmi les <span style="text-decoration: underline;" data-mce-style="text-decoration: underline;">premiers signes</span> qui doivent alerter, on retiendra notamment :<li>la baisse de l’attention (comme si la personne concernée était parfois « absente »),</li><li>des trous de mémoire fréquents (oubli des noms propres, des mots usuels),</li><li>une baisse de la capacité de raisonnement,</li><li>ou encore une forte tendance dépressive et de repli sur soi (baisse de la motivation et du plaisir à faire les choses, troubles de l’humeur, désocialisation).</li> Ces signes ne doivent pas être pris à la légère car ils sont souvent présents dans la première phase « silencieuse » des démences séniles et maladies neurodégénératives comme Alzheimer.En effet, chez les patients présentant un déclin cognitif à l’évaluation, 10 à 15 % d'entre eux développeront une maladie d’Alzheimer au bout d’un an et ils seront près de 80 % cinq à dix ans après l’évaluation initiale [1].Dans la plupart des cas, les signes de déclin deviennent clairement perceptibles à partir de 65 ans. Mais ils peuvent parfois apparaître beaucoup plus tôt, autour de la quarantaine, voire avant comme l'attestent certaines études [2].Le dépistage précoce de ces troubles constitue donc un enjeu de santé majeur car l'on sait qu'il faut agir le plus précocement possible pour inverser le processus de dégénérescence cognitive et de perte de mémoire.Ces dépistages sont pourtant loin d'être systématiques pour les personnes de plus de 60 ans et ils sont quasiment inexistants pour les personnes plus jeunes.<span style="color: #005b99;" data-mce-style="color: #005b99;">Inversez le cours du temps grâce à la phosphatidylsérine</span>Les études menées pour trouver des solutions au vieillissement cérébral ont notamment permis d'identifier le <span style="text-decoration: underline;" data-mce-style="text-decoration: underline;">rôle majeur joué par la phosphatidylsérine</span> dans le fonctionnement de notre cerveau. Au-delà du cerveau, ce phospholipide se retrouve dans toutes les cellules.Des anomalies des membranes cellulaires des neurones seraient l'une des principales causes des troubles de la mémoire liés au vieillissement. Dans cette hypothèse, l'administration de phosphatidylsérine permettrait de restaurer l'intégrité des membranes neuronales.Concrètement, l'action de la phosphatidylsérine au sein du cerveau consiste à améliorer la vitesse de transmission de l’influx nerveux et à rééquilibrer les niveaux de certains neurotransmetteurs, dont l'acétylcholine. Ainsi, la phosphatidylsérine permettrait de lutter contre les effets du vieillissement sur les membranes cellulaires du cerveau.Dans notre alimentation, la cervelle des mammifères constitue la seule source connue de phosphatidylsérine directement biodisponible.Or on estime que l’apport alimentaire en phospholipides se situait auparavant entre 4 et 6 grammes par jour, mais qu’il a diminué de moitié car nous ne consommons presque plus la cervelle et les abats riches en phospholipides.De plus, la synthèse de la phosphatidylsérine par notre organisme est complexe et demande une dépense énergétique importante qui peut être difficile à fournir en cas de maladie ou de vieillissement. C'est pourquoi un apport extérieur sous forme de supplément est recommandé pour prévenir et lutter contre toutes les formes de déclin cognitif liées au vieillissement.<span style="color: #005b99;" data-mce-style="color: #005b99;">Plus de 40 ans d’expérimentations médicales</span>Dès les années 1970, en France, en Italie, au Portugal et en Scandinavie, des extraits de cervelle animale riches en phosphatidylsérine ont été administrés à des personnes âgées afin de lutter contre différentes formes de démence, contre la perte de mémoire et contre la dépression.Des études scientifiques de haute qualité méthodologique ont mis en avant l’intérêt incontestable de cette supplémentation pour l’optimisation du fonctionnement cognitif :<li>En 1993, un essai clinique conduit auprès de 425 personnes âgées souffrant d'un <span style="text-decoration: underline;" data-mce-style="text-decoration: underline;">grave déclin cognitif</span> a montré que l'administration de 300 mg par jour de phosphatidylsérine durant six mois améliorait leurs performances cognitives [3].</li><li>Une série d'essais cliniques effectuée sur plusieurs années auprès d'environ 500 sujets atteints de la <span style="text-decoration: underline;" data-mce-style="text-decoration: underline;">maladie d'Alzheimer ou d'une autre forme de démence sénile</span>, ont donné des résultats semblables [4].</li><li>Un essai à double insu avec placebo auprès de 149 personnes âgées souffrant de <span style="text-decoration: underline;" data-mce-style="text-decoration: underline;">pertes de la mémoire</span> indique que l'administration de 100 mg de phosphatidylsérine, trois fois par jour durant trois mois, peut améliorer les résultats obtenus aux tests neuropsychologiques [5].</li><li>Une étude préliminaire à double insu avec placebo auprès de dix femmes âgées souffrant de <span style="text-decoration: underline;" data-mce-style="text-decoration: underline;">dépression nerveuse</span> a montré que l’administration quotidienne pendant 30 jours de 300 mg d'un extrait de phospholipides cérébraux avait atténué l'intensité des symptômes de la dépression, en plus d'améliorer les performances cognitives des participantes [6].</li> Selon le Dr T. Crook, du <em>Memory Assessment Clinic</em> aux États-Unis, auteur d’une importante étude multicentrique chez des patients âgés, la phosphatidylsérine a démontré son potentiel pour rajeunir de plus d’une décennie « l’horloge cognitive » de patients souffrant de troubles neurodégénératifs sévères [7].Certains chercheurs suggèrent également qu'une supplémentation préventive dès 40 ans, voire avant, serait encore plus bénéfique car c'est généralement à cet âge-là que le processus de déclin cognitif est enclenché.<span style="color: #005b99;" data-mce-style="color: #005b99;">Conseils pour choisir votre supplément nutritionnel de phosphatidylsérine</span>Les premières études sur les effets de la phosphatidylsérine portaient principalement sur sa version d'origine animale. Cette forme a depuis été abandonnée pour éviter les risques bactériens au profit de produits à base de soja, dont les résultats sont tout aussi prometteurs :<li>En 2000, une étude portant sur 30 sujets a été menée par des chercheurs israéliens. Après avoir suivi un protocole de traitement de 300 mg par jour de phosphatidylsérine végétale durant 12 semaines, les chercheurs ont rapporté une amélioration significative des capacités cognitives et de la mémoire chez les sujets traités [8].</li><li>En 2010, une étude japonaise conduite en double-aveugle avec placebo auprès de 78 personnes âgées souffrant de troubles de la mémoire a également montré un impact bénéfique d’une supplémentation de 100 à 300 mg de phosphatidylsérine de soja pendant 6 mois [9].</li> Toutes les études menées ont prouvé que la phosphatidylsérine est sans danger et sans effet secondaire. Toutefois, comme pour beaucoup de nutriments agissant sur le cerveau, il est conseillé de la prendre le matin pour éviter les troubles du sommeil.Le protocole généralement recommandé par les thérapeutes est une cure de 300 mg de phosphatidylsérine pure pendant un mois, suivie d’une dose d’entretien de 100 mg par jour pendant 3 à 5 mois (ou même indéfiniment en cas de troubles cognitifs ou de la mémoire avérés).Pour les personnes souffrant de dépression hivernale, de la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson, certains thérapeutes prescrivent des protocoles de 300 à 500 mg à prendre chaque jour et sans limite de durée.Bien à vous,Eric Müller
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Jean
4 années il y a

Bonjour et merci pour vos bons conseils.
Il manque pour les utiliser, les coordonnées où acheter du phosphatidylsérine.

Merci d’avance

Bourger
5 années il y a

Bonjour cher Monsieur
Vous me devenez indispensable et je vous remercie pour tous vos conseils avisés. Cependant pourriez vs m’indiquer si ce traitement pour la mémoire est compatible avec la prise de 90 mcg de thyroxine Henning par jour?
Au plaisir de.vous lire
Britt Bourger

BLANCHON Simone
5 années il y a

Bonjour,
Grand merci pour tous vos bons conseils.
90 ans le 15 juillet prochain sans le moindre médicament depuis plus d’une décennie, vous faisant confiance, je pense recevoir demain le PS Nut et me lance dans une nouvelle aventure pour une période de trois mois;…….
Pas encore atteinte de cécité, j’assure !! ……
Bien cordialement.
S.B.

Sautière Christine
5 années il y a

OK. merci pour cet article qui concerne beaucoup de personnes de mon entourage et + ou – de mon âge (69 ans).
Sans avoir de problème cognitif (pas encore), j’ai souvent de la difficulté à trouver mes mots et même le nom et prénom de personnes que je connais bien. C’est très agaçant et me donne l’impression de « vieillir trop vite ». donc ce traitement et pas seulement celui-ci, m’aiderai bien pour me permettre de retrouver une meilleure mémoire et avoir un relation orale avec les autres plus agréable, car lorsqu’on cherche ses mots c’est agaçant et frustrant. Donc oui, ceci est très encourageant, mais comment faire lorsqu’on a une petite retraite de 800 euros/mois !!!! et que d’autres traitements (hors remboursements S.S.) sont aussi nécessaires…..ex: rhumatismes, circulation du sang…etc.
Alors oui merci de nous faire rêver et qui sait peut-être un jour, si je gagne à la loterie (mais bien sûr je ne joue pas), et si ce n’est pas trop tard……
Je lis toujours vos articles avec grand intérêt et les partages à mes amis, mais qui hélas sont souvent dans la même situation que moi.
Je sais, que toutes ces études ont un coût et que vous faites sûrement au plus juste, mais sachez que ce n’est pas un manque d’intérêt, mais de moyen pour une grande majorité de personnes qui aurait une vie relationnelle plus agréable, mais bon ce n’est pas mortel c’est juste énervant et ça nous éloigne un peu plus de la jeunesse.
Bien cordialement, à vous,
Christine Sautière.

Andrée bailleul
5 années il y a

Bonjour,
Merci pour vos précieuses informations je souhaiterai toutefois savoir sur le complément super 100 de superstar contient de la lécithine de soja .
Pouvez-vous me donner des informations concernant cet ingrédient car je lis du positif et du négatif j’avoue ne pas connaître précisément ses avantages et inconvénients.
En vous remerciant

Claudie
5 années il y a

Sincerement merci pour les infos que vous nous partagez. On en apprends a chaque fois que l’on vous lit! Combien de lecithine en granules devrais-je prendre pour obtenir la bonne dose journaliere de phosphatidylsérine ?

benedetto
5 années il y a

Merci. Vos articles sont toujours intères sants

Pascalie castanier
5 années il y a

Merci beaucoup pour toutes ces précieuses informations

Corinne
5 années il y a

C’est toujours avec un grand intérêt que je lis vos articles. Cependant, concernant celui-ci, je me pose la question de savoir si je peux prendre un supplément nutritionnel de phosphatidylsérine car j’ai eu un cancer de l’utérus et mon gynécologue m’a toujours déconseillé tout ce qui est à base de soja… En vous remerciant par avance pour votre réponse.

Molnar
5 années il y a

Bonjour,
Je voudrais vous dire merci pour toutes les infos que vous donnez.

Schmidt Monique
5 années il y a

Où peut on se procurer de la vimpocétine et du phosphatidylsérine

Merci d’avance

Monique

Chane Lee
7 années il y a

Merci pour cet article très très intéressant et vraiment important pour notre santé neuronale. Cependant, vous omettez de nous dire où et comment commander ces produits.
Merci de nous guider.
Josette..

Chanchan
7 années il y a

Bonjour,
Mon homéopathe me conseille de prendre du Ginko Biloba homéopathique. Qu’en pensez-vous ?
Par ailleurs, pouvez-vous nous donner une liste des endroits ou des sites où trouver de la phosphatidylsérine végétale fiable et saine ?
Merci d’avance.

rihal michel
7 années il y a
Reply to  Chanchan

perte de mémoire

Leymarie
7 années il y a

Bonjour , je voudrai savoir comment se procurer se procurer :, la posphatidylsérin merci de me communiquer la façon la +simple d’y arriver

Brigitte
7 années il y a

Bonjour
Je vous remercie pour tous ces excellents conseils que nous connaissons tous mal, plus ou moins, ou pas du tout et que nous ne mettons jamais en pratique. Je suis quelques un de vos conseils et vous remercie infiniment. Je prends connaissance de vos courriels avec un grand intérêt.

Merci encore beaucoup

Brigitte

thesy r.
7 années il y a
Reply to  Brigitte

bonjour
bonjour
merci pour cette information que j’attendais avec impatience! !
ayant quelques problèmes de mémoire( ‘j’ai 75 ans »)
je cherchais désespéramment un conseil sérieux!
je commence le traitement bientôt et je vous tiens au courant
des résultats…
cordialement
thesy

descharmes
7 années il y a

Bonjour,

Ce traitement me parait bien intéressant surtout quand on mange pas de viande mais le hic -comme pas mal de produits proposés maintenant- c’est à base de soja or quand on a un cancer de sein hormonal tout produit à base de soja est à éviter donc on est encore pénalisé 🙁

Bien à vous
Ingrid

eva keszeliova
7 années il y a

Bonjour,

permettez-moi d’ajouter l’information suivante:

pour bien assimiler lu curcuma, en plus d’in peu de gras, il faut prendre également du poivre noir.

Meilleures salutations,
EK

CHANTAL
7 années il y a

info ou intox???
Si je lis bien et souhaite rester en bonne sante,chaque info entrâine logiquement l’achat de la pillule miracle qui soulage,etc…
Quels liens entre la generosite de partager les connaissances et les labo de medecine naturelle???
Je commence a saturer.
Y a t-il une pillule pour bien lire et savoir distinguer la pub de l’info???

Gabrielle MV
7 années il y a

Je trouve cet article intéressant, précis et ressourçant. Mais ce que je trouve difficile c’est ou ce procurer ces suppléments?? je suis du Canada, dans les Laurentides. Il y des magasins de produits naturels, mais non pas ces produits là, alors ou se les procurer localement ou régionalement ou ?? Montréal peut-être?? j’aimerais beaucoup avoir de vos infos à ce sujets.

merci Gabrielle MV

BORDARIAS
7 années il y a

quel remède pour les personnes végétariennes et qui ne peuvent plus consommer de soja car elles ont eu un cancer hormonodépendant ?