Chère lectrice,
Cher lecteur,
J’aimerais vous mettre en garde contre des personnes qui utiliseraient les enfants autistes pour profiter des subventions publiques.
C’est un sujet différent de ceux que j’aborde habituellement. Mais je pense que cela nous concerne tous.
L’histoire m’a été racontée par un membre de ma famille qui vit en Pologne.
L’histoire commence avec Franciszek, un petit garçon NORMAL…
Franciszek est un petit Polonais de 5 ans. Comme d’autres garçons de sa génération, il porte le nom du Pape – François 1er – qui venait d’être élu au moment de sa naissance.
Quand j’écris que Franciszek est un « petit garçon NORMAL », je veux dire qu’il a ses petits problèmes de santé… comme tout le monde, en somme…
Franciszek est né prématuré – et il est resté chétif. Franciszek est de nature solitaire. Il a commencé à parler plus tard que la moyenne. À 3 ans, on a découvert que ses trompes d’Eustache étaient bouchées (canaux reliant les oreilles à la gorge), ce qui l’empêchait d’entendre correctement. Il a été opéré. Aujourd’hui, son ouïe est excellente. Il rattrape son retard de langage et se mélange plus volontiers aux autres enfants.
Vous comprenez bien que Franciszek a ses particularités. Mais aucun des nombreux médecins qui l’ont suivi et examiné n’avait détecté chez lui des signes d’autisme (ce détail a son importance pour la suite).
Après trois ans dans une école maternelle privée sous contrat d’association avec l’Etat, les maîtresses convoquent les parents de Franciszek un matin :
« Les progrès de votre fils, Franciszek, ne sont pas au niveau des autres enfants. Il nous semble qu’il pourrait être atteint d’autisme. Aucune certitude, car nous ne sommes pas spécialistes, mais nous pensons que vous devriez le faire examiner. »
Consternation sur la figure des parents. Imaginez-vous à leur place. C’est un choc de soupçonner son enfant d’autisme. Soudain, le monde s’arrête. Tout va très vite, dans leur tête. Les questions se bousculent. Que faire ? Qui consulter ? Que va-t-il arriver à notre enfant ? ». Ils paniquent. Les maîtresses continuent :
« Nous avons l’habitude de travailler avec un centre médical pour enfants, où nous connaissons un bon pédiatre qui pourra examiner votre fils. »
Sans réfléchir, les parents s’empressent de planifier un examen chez ce pédiatre.
Au téléphone, l’assistante du pédiatre les avertit : « L’examen pour l’autisme coûte 2000 zlotys (465 euros) et n’est pas remboursé. » C’est exorbitant quand on sait que le Polonais moyen gagne 775 euros par mois.
Mais les parents se disent :
« C’est vrai que Franciszek est souvent dans son monde. Comment n’avons-nous pas soupçonné l’autisme depuis toutes ses années ? Nous sommes des mauvais parents. »
Ils se sentent coupables.
Ils ont oublié tous les médecins qui avaient ausculté leur fils et n’avaient pas soupçonné l’autisme.
La veille de l’examen, les parents de Franciszek partagent leur malheur avec une amie proche, qui leur dit :
« Quelle coïncidence… les maitresses m’ont aussi convoquée pour me dire qu’elles soupçonnaient de l’autisme chez ma fille Zuza de 2 ans et demi. Cela faisait 3 semaines que ma Zuza avait commencé à aller à l’école. Ça m’avait paru un peu rapide pour poser un tel diagnostic. J’en ai parlé à mon amie pédiatre qui travaille dans un centre pour enfants autistes, et qui connait bien ma fille Zuza. Mon amie pédiatre s’est tout de suite écriée ‘Zuza, autiste ? Mais c’est ridicule ! À ce compte-là, nous serions tous autistes.’ »
Bientôt tous autistes ?
La maman de Zuza continue :
« Voyant la réaction de mon amie pédiatre, j’ai commencé à soupçonner que les maîtresses s’étaient mises de mèche avec des pédiatres pour créer des enfants autistes. C’est vrai que les critères de l’autisme se sont tellement élargis ces dernières années que tout le monde pourrait être soupçonné autisme. »
« Les maîtresses rabattent les enfants soupçonnés d’autisme vers un pédiatre peu scrupuleux qui leur fait passer ses examens à 2000 zlotys ! »
« En échange, le pédiatre renvoie à l’école des enfants diagnostiqués ‘légèrement autistes’ – c’est sûr, tout le monde est légèrement autiste ! »
« L’école se tourne ensuite vers l’État pour réclamer des aides pour organiser l’accueil d’enfants autistes : psychologues, physiothérapeutes, etc. La machine à subventions se met en marche. Les caisses de l’école se remplissent. On des thérapeutes payés à ne rien faire. »
« Le problème, c’est qu’il y a un conflit d’intérêt entre les écoles et les centres de pédiatrie. Tous bénéficient à CRÉER DES MALADES pour alimenter leurs caisses. Il n’existe pas de garde-fou. »
Cette histoire m’a marqué. Je trouve qu’elle en dit long sur le fonctionnement du monde.
L’autisme est une tragédie. Pendant des siècles, des enfants ont souffert de ne pas avoir été diagnostiqué. Personne ne comprenait leurs difficultés.
Les progrès récents dans le diagnostic et l’accompagnement de l’autisme ont fait beaucoup de bien à l’humanité.
Mais simultanément, cette avancée a créé de nouvelles possibilités d’abuser du système. On découvre que des individus peu scrupuleux vont essayer de surdiagnostiquer l’autisme pour l’utiliser à leur avantage. Ainsi naissent des arnaques à grande échelle.
C’est compliqué car en tant que parent (ou grand-parent) vous devez être vigilant :
- Être attentif à votre enfant pour lui assurer la prise en charge adaptée s’il se révélait autiste
- Ne pas être victime de psychose sur l’autisme, et ne pas vous laisser manipuler par des individus malveillants qui vous feraient peur en soupçonnant votre enfant d’être autiste
Je pense que le plus sage est de ne pas considérer la maladie comme un état ON/OFF (sain/malade, normal/autiste, ou noir/blanc). Après vingt-cinq siècles de progrès médicaux, nous devrions avoir enfin abandonné les visions binaires, et manichéennes.
Nous oscillons entre la santé et la maladie de façon progressive, comme des nuances de gris.
Bien à vous,
Eric Müller
Bonjour,
Je trouve que votre article est très mal venu. Pourquoi nous demander, nous parents ou grands-parents, d’être vigilants par rapport à un scandale qui se passe ailleurs dans le monde. Pourquoi susciter l’inquiétude et la peur par rapport à notre système éducatif qui ne fonctionne absolument pas dans ce genre de magouille!!!
Je suis très déçue car les personnes qui vous lisent vous font confiance et que vous suscitez la peur!
C EST UNE HONTE !!!
Je suis retraitée de l’enseignement et vous venez de salir la profession. Je me sens moi même insultée.
Insinuer que les enseignants tirent profit (vous utilisez même le mot ARNAQUE) sont de connivence avec des pédopsychiatres pour bénéficier d’aides de l’état me révolte.
Savez vous que nous recevons les parents dont les enfants sont en difficultés régulièrement après nos heures de cours. Ces parents sont en souffrance et restent parfois plus d’une heure le soir et viennent régulièrement. Savez vous que nous devons remplir des formulaires, faire des réunions à n’en plus finir en dehors de nos heures de travail pour chaque enfant en difficulté. Savez vous que pour un enfant en difficulté nous proposons un travail spécifique que la plupart du temps nous devons inventer. SAVEZ VOUS QUE POUR UN ENFANT EN GRANDE DIFFICULTE LA SEULE AIDE QUE NOUS AYONS LA PLUPART DU TEMPS C EST UNE INTERVENTION DE 45 MINUTES PAR SEMAINE PAR UN MAITRE SPECIALISE.
Se faire traiter d’arnaqueur alors qu’on donne sans compter m’écoeure.
J’attends votre réponse.
Bonjour,
Désolé d’en remettre une couche mais cet article m’a vraiment révolté en jetant le discrédit sur le monde enseignant, sur l’augmentation des cas d’autisme et sur le diagnostic d’autisme.
Pour information, 1 enfant sur 10 000 diagnostiqué Autiste dans les années 1970 et actuellement nous en sommes à 1 sur 100. Auquel nous pourrions éventuellement rajouter, si ce n’est pas déjà fait tous les cas DYS et les Troubles Envahissant du Développement. Sans parler bien sûr de certaines études invoquant la baisse de QI de nos enfants actuellement.
Ce n’est peut-être pas le rôle d’une revue intitulée « néo nutrition » d’aborder les causes de ces problèmes, quoique…, mais je pense qu’un article /qu’une étude mentionnant comment aider les enfants autistes qui sont des enfants stressés, angoissés, hyper sensibles, etc …, avait toute sa place en abordant la nutrition.
Pour nos enfants, nous avons constatés des progrès grâce à la nutrition, mais aussi grâce aussi à la Phytothérapie, l’aromathérapie, un peu de sophrologie, et beaucoup de travail avec des méthodes comportementales et développementales (et non psychanalytique).
Beaucoup de travail en pratique et en recherches et en formations.
C’est vrai que c’est plus facile d’écrire un article sur l’autisme, digne de la presse « people » et en jouant sur la sensibilité.
Parents d’enfants AUTISTES, croyez en vous, croyez en vos enfants, formez-vous, impliquez-vous, ne déléguez pas aveuglément, entourez-vous de professionnels pour vous aider vous et vos enfants, ne lâchez rien, car sur ce coup-là, nous ne sommes vraiment pas aider.
Bien cordialement
Bonjour, je suis l’heureux papa de 2 enfants diagnostiqués AUTISTES (8 et 9 ans)
En restant poli, cet article est indécent et inadmissible. Aborder ce sujet avec des prétendues magouilles en Pologne, avec une généralisation malsaine en discréditant l’augmentation des cas d’Autisme est révoltant.
Vous n’avez jamais mis les pieds dans une association d’enfants en situation de handicap, vous n’avez aucune idée du combat quotidien des parents (à 70% famille monoparentale ) pour faire diagnostiquer son enfant , pour obtenir un financement auprès de la MDPH et construire une prise en charge en libérale, pour scolariser son enfant, subir des regards et des réflexions stupides au quotidien, …
Vous n’imaginez pas toutes les claques que nous nous sommes pris, ce que c’est en réalité des centres dis « spécialisés », et aussi certains spécialistes, comment on doit s’organiser familialement pour tout gérer (je travaille et ma femme a fait plus de 500h de formation sur tous les sujets liés à l’autisme et gère les enfants), comment certaine famille se cache littéralement, …
Et vous écrivez un article sur l’autisme avec des inepties sorties d’un tiroir.
Désolant et affligeant pour ce genre de revue
Bien cordialement et bon courage à toutes les familles d’enfants EXTRA ORDINAIRE.
L’autisme est provoquée par les crapules médicales qui vaccinent et qui empoisonnent les patients pour recevoir leur pécules abusivement .
Comme d’habitude, nous nous éclairez savammeet et le plus simplement du monde sur un nouveau sujet qui fait énormément débat actuellement.
Je ne pensais pas qu’en Pologne on pouvait aussi être réduit à cet état de fait qui fait énormément réfléchir… !
J’aurai bien voulu savoir si votre famille s’était rangée aux déclarations de la mère de ZUZA…
42 ans de cours préparatoire
Cette histoire est purement scandaleuse et écoeurante Je n.ai le souvenir que de trois cas
Où allons nous,,?
encore une preuve qu il y a assez bien d escrocs dans la vie de tout les jours, ici on joue avec la santé d un enfant c est honteux,mon ainée est née prématuree a 7 mois de grossesse et c est vrai qu elle avait du retard pour certaine chose ,se mettre debout seule,, mon fils l a suivi de 10 mois et c est avec lui qu elle a marché, en le voyant partir seul , elle la suivi tout naturellement, par contre elle avait 9 mois et elle pne parlait pas comme un bébé mais directement comme si elle avait toujours su le faire elle faisait l étonnement des personnes que l on rencontrait un bébé qui ne marche pas mais qui parle presque comme un adulte c etait incompréensible, comme quoi un enfant n est pas l autre et avant de faire des conclusions ,lui permettre d abord d evoluer a sa vitesse et voir plus tard si vraiment on voit qu il a un probleme difficile a résoudre seul, merci a vous pour vos conseils
bcp d’argent à gagner avec « »les maladies » ». on en crée, on en invente, on en « soigne » comme bon ça semble, pourvu que ce soit juteux !! je pars d’1 principe, qui vaut ce qu’il vaut bien sur, mais qui me réussi encore pas mal à cette heure (j’ai 60 ans) : tous ce qui est remboursé ou pas cher ne vaut rien . à contrario tout ce qui est trop cher et bien je le laisse. la « bonne » moyenne peut être un critère de choix. pas facile me direz-vous. oui, mais avec de l’entraînement (réflexion logique) les résultats sont encourageants. je ne consulte mon médecin qu’au maximum de 2 X an (depuis plus de 12 ans) et ne lui demande que son diagnostic. tous les soins chimiques qu’il veut me prescrire, je les refuse.
Durant toute ma carrière d’enseignante en Suisse, plus spécialement auprès d’enfants à besoins particuliers, jamais je ne me serais autorisée à poser un diagnostic de cette sorte!
Le rôle de l’enseignant-e est bien d’attirer l’attention des parents sur les difficultés ou inquiétudes, mais jamais d’établir un diagnostic!
Bonjour,
Comme pour les commentaires ci dessus, je peux dire qu’en France, rien ne se passe comm en Pologne puisque les enseignants de l’école publique ne se permettent pas de diagnostic et ne sont liés à aucun centre mercantile.
Je veux cependant souligner que l’autisme est mieux connue depuis seulement les années 80 et que les médecins et pédiatres n’y connaissent pas grand chose en autisme et contrairement à votre article, renvoient de leurs cabinets,les parents qui viennent leur demander conseil, inquiets de l’attitude étrange de leur enfant qu’ils connaissent quand même mieux que quiconque . Ainsi de nombreux enfants qui auraient pu être diagnostiqués très jeunes et donc aidés très jeunes, reçoivent un diagnostic vers 8/10 ans quand l’intervention intensive est un peu trop tardive: d’où formons massivement le monde médical au diagnostic de l’autisme8
Bonjour,
Votre lettre jette le discrédit sur notre profession, je suis extrêmement choquée! En vous adressant généralement à des lecteurs français ou du monde francophone et en décrivant ce qui se passe en Pologne sans autre précision et par association vous amenez à faire croire que tous les enseignants ici et partout dans le monde sont concernés. Nous exerçons un métier passionnant, exigeant et nous nous dédions à nos élèves dans des conditions parfois très difficiles. J’ai régulièrement dans ma classe des enfants autistes, je les adore, ils sont extraordinaires et nous enrichissent humainement à un point difficilement imaginable. Il est ignoble de faire croire que nous puissions toucher un seul centime et soyons de mèche avec des centres de diagnostic ou autres.
Bonjour,
Votre article montre au mieux une grande méconnaissance sur l’autisme en France, au pire une mauvaise foi assumée pour alimenter des thèses conspirationnistes.
En effet, les diagnostics passent soit le Centre de Ressources Autisme assigné à la région dans laquelle on vit, soit par un psychiatre en libéral (le diagnostic médical ne pouvant être posé que par un médecin); le diagnostic étant posé après une batterie de tests rigoureux (ou un bilan pré-diagnostic effectué par un neuropsychologue dans le cas du psychiatre en libéral).
Or trouver un psychologue ou psychiatre ayant des connaissances sur l’autisme est assez difficile, du fait de la formation psychanalytique de la majorité des psychologues/psychiatres et du très faible nombre d’heures d’enseignement sur l’autisme dans les formations de psychologie). Et l’autisme étant encore tabou en France, bon nombre de psychologues/psychiatres ou même médecins refusent de mentionner l’autisme « pour ne pas placer une étiquette sur l’enfant ».
De plus, invoquer des anecdotes se déroulant dans des pays lointains pour « alerter » sur une soit-disant « fraude » à l’autisme constitue un magnifique sophisme n’ayant aucune valeur argumentative (en plus d’être difficilement vérifiable), les appels à l’émotion ne sont pas des arguments valables.
Je pose quelques liens qui permettent de vérifier mes propos (rigueur intellectuelle oblige):
– http://www.craif.org/le-diagnostic-7-47-la-procedure-diagnostique-de-l-autisme-et-des-troubles-envahissants-du-developpement.html
– https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/depistage_et_diagnostic_de_l_autisme_fiches12_has_fed_psychaitrie.pdf
– http://comprendrelautisme.com/le-diagnostic-de-lautisme/les-obstacles/
Cordialement,
Je lis toujours vos lettres avec plaisir car elles m’apprennent beaucoup. Cependant aujourd’hui, je me dois de vous répondre car je ne suis pas du tout d’accord avec vous. Je suis professeure des écoles et nous n’avons AUCUN intêret à diagnostiquer des élèves autistes. Je trouve que votre lettre fait passer les enseignants pour des personnes malhonnêtes et malveillantes alors que notre but est d’aider les enfants à avancer. Il y a dans mon école un élève diagnostiqué autiste (validé par la MDPH) et je peux vous assurer qu’il est très difficile pour lui de vivre une scolarité normale. Nous n’avons aucune formation à ce sujet et nous sommes très souvent désemparés face à des cas d’élèves compliqués, qui sont de plus en plus courant malheureusement. (élèves avec troubles de l’attention, élèves avec troubles du comportements,etc) et si nous envoyons les parents vers un professionnel de santé, c’est tout simplement dans le but d’aider la famille et NON de faire remplir les caisses de l’état. Nous passons des heures en équipe éducative (en plus de nos heures de travail payées) à trouver des solutions pour ces élèves-là, dans le but de les faire progresser et non dans un but lucratif. Il y en a marre de ce manque de confiance envers les enseignants qui se démènent pour faire progresser leurs élèves!!!
bonjour monsieur Eric MULLER
Je pense que votre article est faux concernant l’autisme totalement faux, en ce qui concerne l’enseignement. Les enseignants et l’état n’ont pas et non aucun intérêts d’argents, c’est vraiment ridicule et non prouvé !!!!
Si des problèmes existent concernant le comportement de certains enfants, restons prudent sur le diagnostic, peut être comme certaines personnes le disent,
les problèmes sont grandissants à notre époque, reste à le prouver, mais je vous trouve vraiment méchant et affirmant des accusations ignobles en ce qui concernant votre article, « l’autisme »….
Bonjour
Je suis enseignante depuis 40 ans et je suis assez surprise de lire cet article. Je ne sais pas comment cela se passe ailleurs qu’en France mais nous enseignante nous ne devons pas émettre un diagnostic sur un élève même pas se permettre de dire qu’il est simplement dyslexique premier point. Deuxième point en aucun cas un enfant autiste ou trisomique ou autre ne rapporte quelque chose à une école. Une école publique est à but non lucratif donc nous sommes en-dessous des aides dont nous aurions besoin non pas financières nous avons l’habitude de travailler sans moyen mais humaines. Troisième point l’ecole est tellement ternie par la société actuellement que c’est fort dommage de dénigrer le métier d’enseignant dans un article comme le votre. N’imaginez pas que je sois blessée par ce que vous dites je sais ce que je vaux et rien ne me découragera dans mon métier j’ai la passion pour les enfants et le goût de transmettre les savoirs.
Très cordialement
je ne suis pas tout à fait d’accord avec votre article c’est bien dommage qu’en Pologne un test pour déceler l’autisme soit si cher mais je pense que si on a des craintes sur des signes autistiques il vaut mieux passer un test dès le plus jeune âge car quand on connaît les facteurs de cette maladie multifactorielle on sait très bien qu’il faut agir dès le plus jeune âge.donc oui peut-être que l’autisme et expliqué à toutes les sauces en ce moment mais il faut aussi savoir que vous avez 70 % des enfants autistes qui ont une pathologie associée donc ce n’est pas forcément très simple de déceler leur signes autistiques par contre il est important de pouvoir les travailler au plus vite.
Merci
Bel article, j’ai apprécié le lire… jusqu’où ira la bêtise humaine ? Il se passe tellement de choses cachées, loin, très loin de tout ce que l’on pourrait imaginer et les découvrir fait toujours mal, surtout lorsque cela se passe proche de chez nous.
Sa me laisse sans voix. Les gens n’ont ils vraiment aucune honte à profiter de la faiblesse des parents et à utiliser un enfant juste pour s’enrichir ?
Je me demande où va t’ont comme ça ? Et à qui avoir confiance de nos jours ?
Il est utile de rappeler les aberrations du système médico-éducatif, il y a des instits qui donnent des coups de pied et qui préconisent en même temps de faire diagnostiquer tel enfant pour tel problème…
cela me désole vraiment.
Le problème est que les enseignants ne sont pas formés vis à vis de l’autisme.
Le détecter est compliqué.
Lorsqu’un enfant s’isole, il est compliqué de savoir pourquoi et en maternelle on se dit que ce n’est pas normal
Je me rappelle qu’en début de carrière, ma directrice m’a passé un élève en moyenne section en me disant de faire attention à Gaëtan, il ne dessinait que des feux rouges et ne parlait pas, elle se demandait s’il n’était pas autiste.
L’enfant était en outre très grand, trop.
C’était un enfant très très doué. Il ne refusait pas le contact avec les autres en moyenne section, il était très discret, écoutait tout, mais avait une grande soif d’apprendre.
La mère est venue me voir très vite, en me demandant si je pensais que son fils était autiste.
Je l’ai rassurée.
Avec le recul, je ne pense pas mettre trompée, j’ai une fille handicapée mentale avec des troubles autistiques.
Les autistes ont des troubles du comportement, ce que je n’avais pas constaté chez cet enfant. C’est vrai qu’il s’isolait beaucoup, il aimait le calme, mais il donnait facilement la main, allait aussi vers les autres.
La question est de savoir à partir de quel moment peut on dire qu’une personne est autiste ou a des troubles autistiques?
N.B : je suis en cours de changement de boîte mail, je vous donne l’actuelle
Vous rigolez ou quoi ? « 25 siècles de progrès médicaux »… il y a 25 siècles, il y avait le sorcier… après, il y a eu le curé…à l’époque de mon ancêtre Laënnec, un des fondateurs de la médecine moderne (dite scienquipique !), dont nous avons fêté le bicentenaire de la naissance il y a quelques dizaines d’années, la médecine était un art… donc 2 siècles au maximum !
Bonsoir
J’ai bien aimer lire votre mail sur l’autisme, moi j’ai une nièce qui d’ailleurs ne vit pas en France, j’ai été aussi choquée de voir une petite fille très intelligente et qui ne pouvait être comme les autres enfants.
Ses parents se sont rendu compte qu’elle était autiste.. mais hélas il ne peuvent rien faire dans un pays où on ne peut pas aider des gens comme elle. Je me suis posée la question si il n’avait pas des organismes ou association ici qui peuvent l’aider? Excusez moi si je vous pose cette question, je ne pas lu me renseigner , merci à vous et bonne continuation sur votre lancée
Ce que vous dites est vrai de tas d’autres affections, Par ex. le cholestérol