Voici ce que m’écrit une fidèle lectrice :
« Cher Eric, Je suis accro à vos lettres !!! Je mets en application tous vos conseils et je vois la différence. Mais je commence à me demander si la santé n’est pas réservée aux riches.Mon budget étant très serré, je ne peux pas me permettre d’acheter tous mes produits bio. Et je ne parle même pas des compléments alimentaires. Tout ça est trop cher pour moi.Si vous avez le moindre conseil à me donner, je suis preneuse !Merci de me lire,S. L. »
Chère S.,
Je reçois en permanence des messages comme le vôtre. Le coût d’une alimentation saine est un réel problème. Or pratiquement personne n’en parle.
Mais le problème est plus vicieux qu’il n’y paraît.
Le bio est aujourd’hui perçu comme exceptionnel, alors que le bio s’obtient précisément en cultivant normalement. C’est-à-dire :
- sans pesticides agressifs,
- sans engrais de haute performance,
- sans irradiation,
- sans additifs synthétiques,
- sans solvants industriels…
Le bio, c’est le cycle naturel des choses, c’est la normalité.
La vraie question n’est pas : « Pourquoi le bio coûte si cher ? »
La question à se poser est : « Quelles techniques industrielles ont-ils inventées pour rendre la malbouffe si bon marché ? »
Pour vous permettre de faire des économies dès aujourd’hui, j’ai préparé pour vous une liste des produits qu’il est inutile d’acheter bio.
Produit bio ≠ produit innocent
Première façon de ne pas dépenser son argent inutilement :
Ne plus considérer qu’un produit bio est forcément bon pour la santé.
Je dois avouer que je me suis souvent laissé séduire par l’emballage vert, et la mention « bio » (ou « organic » en anglais).
Avouez-le : on a toujours plus de sympathie pour un produit dès qu’il est labélisé bio.
Si vous ne l’avez pas déjà remarqué, sachez que les spécialistes du marketing l’ont bien compris. Ils se sont tous engouffrés dans la brèche ces dernières années.
C’est ainsi que le label « bio » est devenu le prétexte pour vous vendre les pires cochonneries.
Or, ça devrait être une évidence : même labélisés « bio », les sandwichs, les chips, les biscuits et les crèmes glacées seront toujours mauvais pour la santé.
Regardez cette publicité accablante pour la nouvelle gamme bio de glaces Ben & Jerry’s (marque qui jouit abuse de son incroyable capital sympathie) :

Ben & Jerry’s bio – sans pesticides ni hormones de croissance : « La Terre va vous remercier. Votre corps va vous remercier. Votre ventre va vous remercier et vous envoyer des lettres d’amour. »
Règle de survie au supermarché
Ma règle de survie au supermarché est de ne jamais acheter de produit transformé, même s’il porte le label « bio ». Pas de plats préparés, pas de sauces toutes prêtes, pas de soupes à réchauffer, pas de céréales du petit-déjeuner, etc.
Cela représente déjà une économie non négligeable. En effet, ces préparations transformées bio sont habituellement vendues au prix fort.
L’idéal serait d’acheter uniquement des aliments frais ou crus surgelés. Et de les acheter tous bio. Vous êtes ainsi en mesure de contrôler exactement ce que vous avalez.
Mais pour beaucoup, acheter tous leurs fruits, légumes, viandes et poissons bio non transformés reste trop coûteux.
Je ne parle pas seulement des familles nombreuses, des personnes qui perçoivent une petite retraite, et de celles qui sont en difficultés financières. Il y a aussi celles qui surveillent leur budget alimentation ou qui cherchent à mettre de l’argent de côté.
Ces personnes seront intéressées par le fait que certains fruits et légumes bio ne valent pas la peine.
Par exemple : certains fruits absorbent beaucoup les pesticides, d’autres les absorbent peu ou pas. Certains ne reçoivent pas de traitements pesticides en agriculture conventionnelle (non bio). Certains légumes ont besoin d’engrais chimiques, d’autres poussent très bien sans.
C’est pourquoi, vous pouvez consommer certains produits non bio sans risque, tout en économisant votre argent.
Voici la liste des produits que vous pouvez acheter non bio
Les fruits et légumes suivants ne sont pas (ou peu) traités aux pesticides dans l’agriculture conventionnelle [1] :
- L’oignon
- L’ananas
- L’avocat
- L’asperge
- La mangue
- L’aubergine
- Le melon
- Le kiwi
- Le chou
- Le chou-fleur
- Le brocoli
- La pastèque
- Les patates douces
- La carotte
- Le pamplemousse
- Les champignons
- Les petits pois
- Le maïs (s’il n’est pas OGM)
Liste des produits à acheter toujours bio (si possible)
Voici les fruits et légumes particulièrement exposés aux pesticides [2] [3] :
- Les fraises
- Les pêches (et les nectarines)
- Les pommes
- Les poires
- La salade
- Le concombre
- La courgette (et toutes les courges, potirons, etc.)
- Les haricots verts
- Le céleri
- Les poivrons
- Les épinards
- Le raisin
- Les pommes de terre
- Les tomates
- Les prunes
- Les bleuets (blueberries)
- Les framboises
Liste des OGM courants
Si vous habitez dans un pays qui autorise les OGM, sachez que certains légumes sont plus souvent génétiquement modifiés que les autres. C’est le cas pour :
- Le maïs
- Le soja
- Les courgettes (et toutes les courges, potirons, etc.)
- Le colza (et donc de l’huile de colza)
- La betterave à sucre
- La luzerne cultivée
Les OGM se retrouvent aussi dans la nourriture donnée aux animaux. C’est pourquoi, dans les pays producteurs d’OGM, il est particulièrement important d’acheter bio :
- La viande
- Les produits laitiers
- Les œufs
- Le miel
Gardez ces listes précieusement. Imprimez-les. Accrochez-les sur votre réfrigérateur. Prenez-les avec votre liste de courses. Petit à petit, vous les connaîtrez par cœur.
Bien à vous,
Eric Müller
Sources:
Voici ce que m’écrit une fidèle lectrice :<p><em>« Cher Eric,</em><span class="indent ind_35"> </span><em>Je suis accro à vos lettres !!! Je mets en application tous vos conseils et je vois la différence. Mais je commence à me demander si la santé n’est pas réservée aux riches.</em><em>Mon budget étant très serré, je ne peux pas me permettre d’acheter <u>tous</u> mes produits bio. Et je ne parle même pas des compléments alimentaires. Tout ça est trop cher pour moi.</em><em>Si vous avez le moindre conseil à me donner, je suis preneuse !</em><em>Merci de me lire,</em><em>S. L. »</em></p><span class="indent ind_35"> </span>Chère S.,<span class="indent ind_35"> </span>Je reçois en permanence des messages comme le vôtre. Le coût d’une alimentation saine est un réel problème. Or pratiquement personne n’en parle.Mais le problème est plus vicieux qu’il n’y paraît.Le bio est aujourd’hui perçu comme <u>exceptionnel</u>, alors que le bio s’obtient <strong>précisément</strong> en cultivant <u>normalement</u>. C’est-à-dire :<li>sans pesticides agressifs,</li><li>sans engrais de haute performance,</li><li>sans irradiation,</li><li>sans additifs synthétiques,</li><li>sans solvants industriels…</li>
Le bio, c’est le cycle <u>naturel</u> des choses, c’est la <u>normalité</u>.La vraie question n’est pas : « Pourquoi le bio coûte si cher ? »La question à se poser est : « Quelles techniques industrielles ont-ils inventées pour rendre la malbouffe si bon marché ? »Pour vous permettre de faire des économies dès aujourd’hui, j’ai préparé pour vous une liste des produits qu’il est inutile d’acheter <u>bio</u>.Produit bio ≠ produit innocentPremière façon de ne pas dépenser son argent inutilement :Ne plus considérer qu’un produit <u>bio</u> est forcément bon pour la santé.Je dois avouer que je me suis souvent laissé séduire par l’emballage vert, et la mention « bio » (ou « <em>organic </em>» en anglais).Avouez-le : on a toujours <u>plus de sympathie</u> pour un produit dès qu’il est labélisé bio.Si vous ne l’avez pas déjà remarqué, sachez que les spécialistes du marketing l’ont bien compris. Ils se sont tous engouffrés dans la brèche ces dernières années.C’est ainsi que le label « bio » est devenu le prétexte pour vous vendre les pires cochonneries.Or, ça devrait être une évidence : même labélisés « bio », les sandwichs, les chips, les biscuits et les crèmes glacées seront toujours mauvais pour la santé.Regardez cette publicité accablante pour la nouvelle gamme <strong>bio</strong> de glaces Ben & Jerry’s (marque qui <del>jouit</del> abuse de son incroyable capital sympathie) :<img class="alignnone" title="image1" src="https://static.snieditions.com/external/img/benandjerry.jpg" alt="les glaces soi-disant bio de Ben & Jerry's" width="450" height="280" data-mce-src="https://static.snieditions.com/external/img/benandjerry.jpg" /><br />
<em>Ben & Jerry’s bio – sans pesticides ni hormones de croissance : « La Terre va vous remercier. Votre corps va vous remercier. Votre ventre va vous remercier et vous envoyer des lettres d’amour. »</em>Règle de survie au supermarchéMa règle de survie au supermarché est de <strong>ne jamais acheter de produit transformé, </strong><u><strong>même </strong><strong>s’il porte le label « bio »</strong></u>. Pas de plats préparés, pas de sauces toutes prêtes, pas de soupes à réchauffer, pas de céréales du petit-déjeuner, etc.Cela représente déjà une économie non négligeable. En effet, ces préparations transformées bio sont habituellement vendues au prix fort.L’idéal serait d’acheter uniquement des <strong>aliments frais ou crus surgelés</strong>. Et de les acheter tous <strong>bio</strong>. Vous êtes ainsi en mesure de contrôler exactement ce que vous avalez.Mais pour beaucoup, acheter tous leurs fruits, légumes, viandes et poissons <strong>bio</strong> non transformés reste trop coûteux.Je ne parle pas seulement des familles nombreuses, des personnes qui perçoivent une petite retraite, et de celles qui sont en difficultés financières. Il y a aussi celles qui surveillent leur budget alimentation ou qui cherchent à mettre de l’argent de côté.Ces personnes seront intéressées par le fait que <strong>certains fruits et légumes bio ne valent pas la peine</strong>.Par exemple : certains fruits absorbent beaucoup les pesticides, d’autres les absorbent peu ou pas. Certains ne reçoivent pas de traitements pesticides en agriculture conventionnelle (non bio). Certains légumes ont besoin d’engrais chimiques, d’autres poussent très bien sans.C’est pourquoi, vous pouvez consommer certains produits <u>non bio</u> sans risque, tout en économisant votre argent.Voici la liste des produits que vous pouvez acheter <u>non bio</u>Les fruits et légumes suivants ne sont pas (ou peu) traités aux pesticides dans l’agriculture conventionnelle [1] :<li>L’oignon</li><li>L’ananas</li><li>L’avocat</li><li>L’asperge</li><li>La mangue</li><li>L’aubergine</li><li>Le melon</li><li>Le kiwi</li><li>Le chou</li><li>Le chou-fleur</li><li>Le brocoli</li><li>La pastèque</li><li>Les patates douces</li><li>La carotte</li><li>Le pamplemousse</li><li>Les champignons</li><li>Les petits pois</li><li>Le maïs (s’il n’est pas OGM)</li>
Liste des produits à acheter toujours bio (si possible)Voici les fruits et légumes particulièrement exposés aux pesticides [2] [3] :<li>Les fraises</li><li>Les pêches (et les nectarines)</li><li>Les pommes</li><li>Les poires</li><li>La salade</li><li>Le concombre</li><li>La courgette (et toutes les courges, potirons, etc.)</li><li>Les haricots verts</li><li>Le céleri</li><li>Les poivrons</li><li>Les épinards</li><li>Le raisin</li><li>Les pommes de terre</li><li>Les tomates</li><li>Les prunes</li><li>Les bleuets (<em>blueberries</em>)</li><li>Les framboises</li>
Liste des OGM courantsSi vous habitez dans un pays qui autorise les OGM, sachez que certains légumes sont plus souvent génétiquement modifiés que les autres. C’est le cas pour :<li>Le maïs</li><li>Le soja</li><li>Les courgettes (et toutes les courges, potirons, etc.)</li><li>Le colza (et donc de l’huile de colza)</li><li>La betterave à sucre</li><li>La luzerne cultivée</li>
Les OGM se retrouvent aussi dans la nourriture donnée aux animaux. C’est pourquoi, dans les pays producteurs d’OGM, il est particulièrement important d’acheter bio :<li>La viande</li><li>Les produits laitiers</li><li>Les œufs</li><li>Le miel</li>
Gardez ces listes précieusement. Imprimez-les. Accrochez-les sur votre réfrigérateur. Prenez-les avec votre liste de courses. Petit à petit, vous les connaîtrez par cœur.Bien à vous,Eric Müller
Mille mercis pour ces informations tres utiles
Bonjour, aie aie aie, d’où tenez-vous ces informations surtout en ce qui concerne les produits résultant de l’agriculture conventionnelle. Vous avez presque tout faux par ex oignons (sol pollué par désherbage) désherbant sélectif pour les carottes…, hormones pour la fructification d’ananas, mangues, avocats… etc… renseignez vous davantage… dommage,
pas sérieux je me désabonne
Bonjour, je souhaite consulter les sources citées mais ne trouve pas l’accès
Bonjour,
Un grand merci pour cette petite liste qui simplifie quelque peu la démarche « achat bio »,
Du coup on peut acheter local et non bio sans complexe!
Belle journée
Franchement, les listes, bio ou pas, ne sont pas vraiment pertinentes et sont un grand méli-mélo. Difficile d’y croire les yeux fermés !
Vous oubliez lez pays producteurs qui ne respectent pas la législation européenne ou française sur les produits utilisés.
Quant à la personne qui se plaint de ne pas pouvoir s’offrir des produits bio, qu’elle arrête d’acheter des compléments alimentaires qui sont extrêmement chers et qui ne servent strictement à rien si on se nourrit correctement.
Bonjour,
Vous oubliez de mentionner les cerises dans les fruits exposés aux pesticides ! Acheter bio, limite tout de même les risques, car il y a davantage de contrôles. Il n’est pas prouvé non plus que le bio soit meilleur pour la santé ! Mais en acheter de temps en temps du bio en grandes surfaces revient moins cher que dans des magasins spécialisés.
Quant aux OGM, « ils sont la voie prometteuse de l’amélioration de l’alimentation humaine et animale, comme de la protection de l’environnement, car ils permettent la réduction des labours et de l’épandage d’engrais, comme de pesticides ». Bref extrait d’un livre intitulé « les écolos nous mentent » de Jean de Kervasdoué, économiste de la santé, ancien diplômé de l’Agro et des Eaux et Forêts. Ce livre est à contre-courant du prêt-à-penser de notre époque. A lire éventuellement, pour ce faire une idée.
En ce qui concerne la culture du maïs, il est rarement dit qu’elle consomme énormément d’eau tout comme la culture du blé (qui est utilisé dans la fabrication du pain et autres aliments), alors qu’il nous est conseillé de faire attention à notre consommation d’eau !!!
MERCI enfin un point très éclairant et utile chaque jour. Tout consommateur pourrait en faire son livre de chevet.
Nous voilà responsables et informés.
Maintenant à nous d’agir contre la malbouffe… Tout un retour au siècle dernier où l’homme savais encore respecter la terre, l’eau etc…
nic gc
Bonjour! Cela fait 2 ans que je suis végé., j’aime ça, car j’étais bien tannée de la viande et dégoutée… Mais des fois, je ne sais pas si je mange assez de protéine? Je ne sais pas si mon mal de tête est dû au manque de protéine ou mes pilules pour tension artérielle qui me donne des effets secondaires… Des légumes j’en mange, je ne prends pas bio mais je les lavent et je les fait stimer dans mon appareil. Merci de vos bons conseils, Micheline
Bonjour Eric, où sont les sources ? (Nr 1 à 3)
je confirme, ayant vécu au Costa Rica ,( pays qui se dit etre écologique ce qui est loin d’être le cas à bien des égards , mais c’est un autre sujet ) ce pays est un gros producteur d’ananas et le plus gros consommateur de monsento d’Amérique centrale , j’ai vu les avions épandre aussi bien sur les champs que sur la population de paysans. pour avoir des légumes bio dans ce pays il faut dégoter des niches de producteurs bio ( souvent des étrangers qui distribuent avec parcimonie …à des étrangers) et je faisais 80 km par semaine pour me ravitailler en produits sains. je ne consommerai jamais d’ananas de cette provenance . idem pour les manges.
Bonjour,
J’ai été très surpris de trouver dans votre liste non-bio l’ananas !!! De fait celui du costa rica doit être bourré de pesticides si j’en crois les différents commentaires que j’ai pu trouvé à son sujet.
Cordialement Denis
Ci-joint un lien parmi d’autres : https://www.leparisien.fr/video/video-ananas-du-costa-rica-ce-que-vous-devez-savoir-avant-d-en-manger-28-02-2020-8268693.php
culture des carottes :
Attention, j’ai connu l’
utilisation d’un désherbant sélectif car trop dur pour enlever l’herbe au milieu des carottes
Bonjour.
Pour les légumes ou fruits que l’on peut acheter non bio.je ne suis pas d’accord sur l’ananas et encore moins sur l’avocat…jai vu un reportage sur la culture de l’avocat . c’est en combinaison complète qu’il traite avec deux produits au moins en même temps ! Donc il vaut s’assurer avant de diffuser.. je vais cesser votre newsletter dans le coup. Pas assez fiable et trop souvent …l’information tue l’information…
Bien cordialement.
Marylène ripoche
Je suis très étonnée que vous conseilliez d’acheter en conventionnel les carottes, les pamplemousses et les avocats qui sont traités, mais vu l’épaisseur de leur peau le produit ne pénétrerait pas à l’intérieur, ce qui n’est pas le cas pour les 2 précédents !! Je suis surprise de lire que les courgettes pourraient être OGM de même que les potimarrons, alors que ceux-là poussent tout seuls!!
Bonjour à tous ! je suis senior et habite dans l’est
de la France , je voudrai dire à propos des fruits
qu’il suffit de prendre le temps de se promener et
d’ouvrir les yeux et ensuite de tendre le bras pour les cueillir ou de se baisser pour les ramasser .
Je me promène souvent en vélo sur les voies vertes ; ce qui me permet de repérer les fruitiers dans la nature . Aujourd’hui avec ma compagne , nous avons ramassé plusieurs kgs de pommes
prunes et mirabelles en pleine nature et parfois
sur des fruitiers plantés par les communes elles même à disposition des administrés .
Je tiens à vous dire combien j’ai apprécié votre article sur les produits bio, mais je voudrais ajouter quelques remarques pour les personnes qui ont des petits budgets : ne faites plus vos courses en supermarché, allez plutôt sur les marchés ou chez les agriculteurs pour acheter en direct sans intermédiaire, j’ai même trouvé des agriculteurs bio qui font la vente à la ferme et si l’on cueille soit même c’est moins 30% sur les prix.
Le fait de ne pas allez dans les supermarchés ont dépense beaucoup moins ont est pas tenté par des quantités de produits extrêmement chers et qui ne sont pas indispensables.
Merci pour ces listes mais vous ne mentionnez pas les bananes. Il me semble que la peau très épaisse la protège des produits non systémiques.
Merci pour cet article particulièrement intéressant. Toutefois je suis perplexe… Je ne sais pas pour les autres fruits et légumes mais j’ai lu, dans le livre d’un vétérinaire holistique Christopher Day, concernant les aliments pour les chats qu’il fallait absolument utiliser des carottes bio (sous entendant qu’elles étaient particulièrement traitées)… Du coup cela me met le doute…
Etes vous certain qu’elles sont dans la bonne liste ?
Merci pour vos informations toujours intéressantes.
Bien cordialement.
bonjour, merci pour vos bons conseils et informations très utiles. que dire des oranges, des nectarines, des pamplemousses, des poireaux ? bio ou pas bio ?
merci d’avance pour votre intérêt
cordialement
Merci pour ces infos très intéressantes. . Je me suis empressée de retranscrire ces listes comme vous le conseillez.A propos des légumes non bio, sur la recommandation du dr Schmitz, j’ai acheté un petit appareil à ozone afin d’öter un maximum de pesticides lorsque j’achète des légumes ou fruits non bio qui ne sont pas toujours disponibles en magasin.. Je trempe donc mes légumes et fruits 15 min dans l’eau et je fais fonctionner mon appareil. qui a l’avantage d’éliminer les bactéries.
une mention spéciale pour la banane qu’il est inutile d’acheter bio car je pense qu’il n’y a pas de bananes bio – celles qui proviennent de la République Dominicaine y compris vu que les accords avec ce pays sur le bio laissent la porte ouverte à pas mal de traitements
Bonjour, je suis étonnée que vous indiquez que l’ananas peut se manger non bio, j’ai vu u reportage il y a quelques mois qui montrait des champs d’ananas qui étaient traités aux produits chimiques…
bravo ! cher Eric, voilà une série d’informations précieuses et facile (pour tous) merci.
je pensais jusqu’alors vos lettre plus sérieuses, allez voir comment ils cultivent le melon et celui-ci ne serait pas dans la liste, j’ai d’ailleurs arreté d’en manger même 1/an depuis que je sais. J’espère que c’est la seule erreur de la liste, mais je doute, les champignons….passés au chlore????? merci de fournir des infos plus sérieuses
Bonjour à tout le monde,
Est-il trop tard pour laisser un commentaire ? Je vois que c’est un article de septembre 2016. Mais je « n’y tombe » dessus que maintenant !
Je voudrais donner ma petite expérience du bio et de son prix (pour l’alimentaire uniquement).
Je ne pense pas que l’alimentation bio soit plus chère que l’alimentation empoisonnée.
J’ai remarqué qu’on mange moins quand les produits sont bio : on est plus vite rassasié.
Donc plus petite quantité = plus petit prix.
Evidemment, je parle uniquement des fruits et légumes.
Dans la ville où j’habite, nous avons la chance d’avoir (en périphérie) un « agriculteur bio ». Sa charmante femme nous donc vend tous les légumes de saison. Elle vend aussi, les fruits bio de leur voisin. Elle a des poules… qu’on essaie de ne pas écraser en venant chez eux parce qu’elles ne sont pas serrées en batterie sous des hangars.
Un jour je demande des œufs. Elle me répond : j’ai vendu les derniers tout à l’heure. A ce moment-là, passe son petit garçon (une dizaine d’années) et elle lui demande d’aller voir dans les nids, s’il n’y aurait pas des œufs. Il est revenu avec 7 œufs. Je les ai pris en toute confiance même s’il n’y avait pas le code 0 ou 1 ou 2 ou 3 et le jour de ponte tamponnés dessus !
J’achète une salade chez elle. En arrivant chez moi, je la nettoie et la mets dans un récipient et au frigo. Je peux en manger à 3 repas. Les salades du commerce, j’aurais pu en manger deux pendant un repas. Alors si la salade coûte quelques centimes de plus (et encore, ce n’est pas prouvé car il y a zéro intermédiaire), le rapport qualité/prix n’a pas besoin de beaucoup de calculs pour comprendre que le bio est moins cher et tellement meilleur.
Les pommes de son voisin ne sont pas calibrées. Elles sont plutôt petites, mais qu’est-ce qu’elles sont bonnes ! Une petite pomme et on n’a plus faim jusqu’au repas.
Au contraire quand je mangeais (avant de connaître le bio) des « belles » pommes toutes de la même forme, de la même grosseur, de la même couleur, du même brillant, je n’avais qu’une envie, c’était d’en manger une deuxième… Elle m’ouvrait l’appétit au lieu de le fermer !
Ce qui est plus cher, c’est tout ce qui est fabriqué : produits d’entretien, lessives, produits cosmétiques, etc… Là, c’est vrai, c’est cher.
Mais (espoir) j’ai vu l’autre jour une émission à la télé dans laquelle on expliquait comment faire soi-même tous ces produits. Il paraît que c’est facile. Je n’ai pas encore essayé.
Voilà ma petite contribution.
Bonne soirée à tous.
Lucie
Bonjour,
Je suis fanatique de bananes. Est-il préférable de les acheter bio, ou pas nécessairement ?
Merci d’avance de votre réponse.
un légume avantageux ; la chayllote ou christophine, plante grimpante, un plant + de 250 chayottes ! a cuire comme la pomme de terre e, quartier ou en purée.
D’après ce que j’en sais, les carottes sont désherbées massivement avec des pesticides sélectifs (qui reconnaissent uniquement le gène de la carotte et tue tout le reste). en ce qui concerne le choux, choux-fleur et brocolis, pourquoi ne subiraient-ils pas de traitement alors qu’ils sont infestés de chenilles et autres indésirables? Et le melon n’en parlons pas!!! il attrape le mildiou plus facilement encore que la tomate alors ça m’étonnerai qu’il ne soit pas traité. Êtes-vous bien sûr de vos sources pour faire de pareilles affirmations M Eric Müller?
Je suis bien d’accord… On dirait une liste copiée-collée d’un site canadien (on dit « myrtille » en français de France pas « bleuet » ;-)) que j’ai déjà vue d’ailleurs, d’après le taux de pesticides relevé dans chaque fruit et légume. Jamais vu quand même la carotte et les choux qui sont en effet sur-traités (ce sont les cultures les plus difficiles à réaliser en bio). De même l’oignon est massivement arrosé de désherbant, mais il paraît que ses nombreuses pelures le protège un tant soit peu (comme l’orange), d’où un faible taux de pesticides à l’arrivée.
À l’inverse je suis surprise par le « danger » des courges, qui sont quand même très simples à cultiver sans produits.
En tous les cas, ce genre de listes, c’est bien beau, mais c’est de la bien courte vue… Ok si vous mangez des oignons traités, ce n’est sans doute pas l’oignon qui vous rendra malade. Par contre les pesticides utilisés pour sa culture iront polluer l’eau et l’air.
La nécessité de l’agriculture bio va bien au-delà du taux de pesticides résiduels dans ses produits. Il s’agit de préserver l’environnement dans lequel nous vivons (et qui est susceptible de nous rendre malade). Le jour où toute l’eau sera contaminée par les pesticides à oignons que vous aurez continué à acheter en conventionnel, tout le reste des produits arrosés avec cette eau, bio ou pas, seront contaminés. Le bio n’est pas un synonyme de pureté pour ceux qui veulent préserver individuellement leur petite santé, c’est avant tout un mode de culture qui vise à être moins néfaste pour l’environnement qui nous fait vivre. Si l’air ou la pluie sont pollués, les produits bio le seront aussi… Etc etc. L’agriculture biologique ne fait que suivre un cahier des charges défini pour préserver l’environnement, et ces préconisations, qui évoluent parfois, sont parfois discutables, mais au moins on sait à quoi s’en tenir.
Votre remarque sur les prix, en revanche, est très pertinente : le prix du bio (hors bio industriel) est souvent le vrai prix de l’alimentation, encore plus concernant les produits les plus chers comme la viande et les produits animaux. Un steak à 2€, ça n’a pas de sens… Dans quelle condition la vache a-t-elle bien pu vivre pour arriver à ça ?
Après, ce sont aussi des choix politiques : on a préféré subventionner les agriculteurs plutôt qu’augmenter les prix de l’alimentation. Or ces subventions sont malheureusement attribuées en plus grosse part à des systèmes agricoles destructeurs (le principal critère d’attribution de la PAC étant la surface exploitée…)
La contamination des semences Bio par des semences OGM très difficilement traçables est devenu un fléau pour les agriculteurs BIO. La contamination génétique peut émaner de déplacements de pollens, manipulation de la récolte (moissonneuse-batteuse, camion ou élévateurs mal nettoyés) ou d’achat de semences, déjà… contaminées. Dans certaines coopératives du Canada, seules 15% des variétés de maïs bio étaient sans ogm ! (Pour le Pr.Seralini, il n’existe même plus de maïs sans ogm !)
Dans ces conditions on comprend que le BIO est devenu avant-tout une niche commerciale très rentable pour certains industriels qui profitent de la confusion pour écouler des produits contaminés !
quelques articles sur le sujet :
http://www.laterre.ca/actualites/cultures/la-contamination-par-les-ogm-un-probleme-majeur-pour-toute-la-filiere.php
http://www.ledevoir.com/non-classe/35267/des-aliments-bio-portent-des-traces-d-ogm
http://www.lafranceagricole.fr/actualites/ogm-en-allemagne-de-plus-en-plus-de-traces-dans-les-semences-de-mais-1,0,82528761.html
http://www.bio-suisse.ch/media/fr/pdf2009/OGM/merkblatt_gvo_import_08-09-f.pdf
http://www7.inra.fr/dpenv/pdf/PratC55.pdf
http://www.lesmotsontunsens.com/etude-scientifique-dissemination-contamination-ogm-produits-alimentaires-assiettes-consommateurs-3481
…sans compter les produits BIO qui sont en fait des OGM ! puisqu’il est tout à fait légal – merci l’Union Européenne – de produire du bio à partir d’OGM !! on en trouve même dans les farines certifiées Bio d’Ecocert (voir les analyses d’Atlangène)… L’Allemagne s’est fait une spécialité de ce type de produit. Les moyens de détection des Ogm sont coûteux même pour la filière BIO Française qui résiste encore avec son meilleur label AB Demeter pour ce qui est produit en France.
Sinon la bonne vieille méthode de l’imposition des mains sur la nourriture avant de la préparer et de la manger peut rendre service à défaut du Bio aseptisé pour riches…
La question que je me pose régulièrement : vaut-il mieux manger local avec pesticides ou bio, lorsque les produits viennent de très loin?
J’avoue privilégier souvent le local, car la qualité nutritive des produits bio qui ont traversé toute la planète ne peut pas être bonne.
Selon l’endroit où on habite, il n’est pas toujours facile de s’approvisionner avec de bons produits bio, malheureusement!
les légumes bio sont plus cher car c’est souvent à la main que l’on fait ce que les pesticides faisant avant comme enlever les chenilles, désherber etc la terre est basse et si je vendais mes légumes, ils seraient cher !
merci pour tous ces renseignements, comme il est dit plus avant , à chacun d’ acheter intelligemment, pour ma part je ne pense pas que le bio coûte beaucoup plus chère surtout sur le long terme, car cela permettra sûrement des économies sur les dépenses de santé et donc à la communauté.Il faut reprendre goût à faire la cuisine, en famille c’est très bien c’est un très beau partage et pour ceux qui ont des enfants cela fait parti de l’éducation.
Bonjour,
Je suis surpris que vous considérez la mangue non Bio comme un fruit qui peut se consommer sans crainte même sans ce label.
Je vous joint une lettre de Santé Nature Innovation par Jean Marc Dupuis en date du 30 juin qui stipule bien de ne pas consommer certaines mangues sans label Bio.
Voici un extrait de la lettre:
« La question écologique
Faut-il pour autant se jeter sur les mangues au supermarché, en Europe ?
Malheureusement non. Les mangues sont un plaisir réservé aux personnes qui ont la chance d’habiter à l’ombre des manguiers, qui poussent principalement en Inde, et dans les pays des tropiques.
Dans les plantations qui exportent pour l’Europe, les fruits sont irradiés au cobalt-60 radioactif pour éliminer la mouche de la mangue.
Elles peuvent aussi avoir été trempées dans un bain d’insecticide après la récolte, afin d’éviter les mouches de fruit qui les colonisent dans les pays tropicaux dès qu’on les cueille.
Elles auront aussi été cueillies vertes, et elles auront mûri dans des containers. Leur teneur en flavonoïdes et en vitamine C risque d’être plus faible.
Elles auront enfin provoqué des émissions massives de carbone, et polluants divers, pour être transportées jusqu’à chez vous, surtout si elles sont arrivées par avion.
L’idéal avec les légumes et les fruits, je le répète, est de les cultiver soi-même, ou de les acheter chez un producteur local, chez qui on se rend… à vélo (faire un peu d’exercice diminue immédiatement de 20 % votre risque de douze types de cancers [4]).
Les vertus de la mangue tiennent avant tout à leur teneur en polyphénols. Vous retrouvez de grandes quantités de polyphénols dans les fruits et légumes colorés de chez nous, en particulier les petits fruits qui tâchent : myrtilles, mûres, cassis, framboises.
Privilégiez donc toujours les légumes et fruits locaux, et de saison. Si vous habitez les tropiques, profitez-en pour manger des mangues ! »
A votre santé !
Jean-Marc Dupuis
Vous comprendrez que je suis très surpris de vous lire et cela me mets dans une position de qui croire ou non? Information ou désinformation? Vrai ou faux?
Mon interprétation est-elle juste?
Dans l’attente d’une réponse de votre part afin d’avoir des éclaircissements.
Thierry.D
Bonjour,
A lecture des commentaires, on reste complément « déboussolé’.
Une information d’une personne « Eric Muller » supposée compétente sur le sujet, avec des sources « vérifiées ?? » et plusieurs personnes « sur le train » qui affirment le contraire.
monsieur Muller vous nous devait des explications, ou alors vous n’êtes pas crédible.
et votre lettre n ‘est que ….
C’est simple court et précis. Merci Eric. Dans l’article il me semble qu’il est dit que certains produits du non bio absorbaient moins tous les intrants chimiques que d’autres. Donc c’est ceux-là qu’on retrouve dans la liste. Ai-je bien compris?
Ps : pour ceux que ça intéresse, bleuets et bluberry c’est la même chose. La myrtille c’est bilberry.
Vous mettez les asperges dans les produits que l’on peut acheter non-bio?
Pourtant j’avais la par ailleurs que les asperges du commerce classique étaient terriblement traitées….
Sinon bravo tout ça est très intéressant.
Merci pour vos conseils éclairés et tout particulièrement pour la liste des achats à faire en bio ou non; extrêmement pratique !
Mais malgré tout ne pas oublier que le non bio, même lorsqu’il n’est pas nocif pour notre santé, reste nocif pour l’environnement.
Certains maraîchers qui pratiquent la culture bio font des efforts pour modérer leurs prix. A nous de les encourager, et de reconnaitre que le prix réel du bio est moins élevé qu’il n’y parait : à poids égal d’épinards, par exemple, les bio « fondent » moins à la cuisson que les non bio et sont plus nourrissants.Cordialement, Michèle.
Je suis surprise de voir le chou fleur mentionné comme légumes peu traité Je fais attention depuis des années de ne le consommer qu’en « BIO « car
j ‘étais avant complètement écoueurée par
l ‘odeur nauséabonde que ce légume dégageait à la cuisson ce qui n ‘est pas le cas en bio.. Il doit y avoir une explication ?????
n’importe quoi votre liste de produits non bio non traités ! aberrant !
Il ne s’agit pas de produits non bio non traités, mais de produits non bio, mais moins sensibles que les autres et donc moins « contaminés »
Tout à fait cette liste est nulle l’avocat est super traité.
Je rejoins la plupart des commentaires…et surtout ceux des maraîchers…votre liste est archie fausse…
Des ananas non traités…?!…des choux et tout le reste…? non traités..? …c’est une aberration de dire ça …
Je ne fais pas plus confiance au « bio » des grandes surfaces que chez certains « grands » du bio…
Et comme est dit si bien dans un commentaire…avez vous déjà trouvé un insecte dans vos fruits et légumes bio ?…non !…
Alors que si on les cultive soit-même on a des chenilles et tout ce qui peut se trouver dans un jardin…
Donc…le « bio »…???…
Pour ma part..j’ai arrêté de me fournir en légumes « bio » défraîchis…et vais m’approvisionner du producteur aux consommateurs…ils pratiquent de la culture « raisonnée »….et…j’ai enfin retrouvé le vrai goût des légumes ! … tous frais cueillis du matin et n’ayant pas traînés dans des camions….
Et…je ne mange aucune nourriture transformée….sauf….quand je suis invitée…je ne peux l’éviter !
Mais mon corps élimine très vite vu que je ne suis pas « encrassée » ….
Et le corps sait très bien nous faire savoir ce qu’il lui faut ! ?
si vous cultiviez un jardin intelligemment, vous sauriez qu’il n’y a aucun besoin de traitement, alors cette histoire d' »agriculture raisonnée », c’est de la politique, c’est de la démagogie, pour vendre mieux.
Bonjour,
Je suis maraîcher bio.
Prétendre que les cultures d’’oignon, asperge, aubergine, melon, chou, chou-fleur, brocoli, maïs en agriculture conventionnelle ne sont pas ou peu traitées est une affirmation gratuite sans fondement.
Pour s’en persuader, il suffit de constater sur place ou de poser la question de confiance aux agriculteurs conventionnels.
Il serait préférable d’éviter d’affirmer ce genre de contre-vérité aux lecteurs. ça discrédite le discours…
OUI, c’est tout à fait vrai. Merci Eric.
Le bio absolu que l’on croit imaginer n’existe pas.
L’air est pollué, l’eau de pluie est polluée, les sources sont polluées.
Pour obtenir un label bio le producteur de légumes bio, est obligé de décontaminer sa terre, C’est bien c’est relatif. je veux dire par là que ce n’est pas absolu – ce n’est pas à 100%.
Ceci étant avec des produits bio on absorbe moins de cochonneries qui nous font mal. Eric fait la part des choses selon chaque aliment et c’est très important. .
je voudrais ajouter quelque chose de fondamental –> » LE POUVOIR GUERISSEUR DE LA NATURE » – c’est là, qu’avec une petite étincelle, du magnétisme que je fais, et un complément alimentaire bien adapté il soit possible de permettre à mon corps, d’éliminer ce qui contribue à me faire mal aujourd’hui ou demain.
Je suis tout à fait d’accord avec le CURCUMA dont parle Eric. Merci à toi.
pour ma part je propose à mes clients, une formule avec du poivre. j’ai la conviction qu’entre le poivre et le curcuma il y a une synergie intéressante:
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Une part de curcuma bio
1/5 de part de poivre noir bio
gingembre poudre bio
huile d’olive bio pour les polyphénols
huile de colza bio pour les oméga_3
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à envisager 3 fois par semaine. dans du riz, dans des pâtes, ou dans une cuisson à la cocotte.avec viande et légumes. Chacun son goût.
pour moi cet aliment est un médicament, donc je le prends bio, afin que je sois certain d’un résultat optimum. Les quantités utilisées sont minimes dons le supplément de prix très relatif.
Amitié et bonne santé à vous tous, à vous tous.
Merci pour toutes vos informations. J’ai depuis de nombreuses années opté pour le 100% bio. Si le risque zéro n’existe pas, j’ai mis le maximum de garantie de sécurité alimentaire de mon côté. On me présente souvent cet argument de cherté du bio. Je trouve que c’est un faut prétexte et que s’alimenter sain requière un état d’esprit différent qui repose sur des choix. J’ai cherché autour de moi et trouvé des agriculteurs bio où j’achète en direct bien moins cher que le non bio en supermarché. Ils ont un coin avec légumes, melons etc qui sont moins esthétiques (appelés second choix) et tout aussi bons à 1 euro le kilo… Je ne dépense pas d’argent en cigarettes, magazines, alcohols, sorties au café etc et préfère dépenser mon argent pour manger sain. J’ai réduit ma consommation de viande (surtout rouge à cause du cholestérol) jamais de plats préparés et le poisson pêché et congelé en haute mer est la seule denrée que je m’autorise non libellée « bio » -à quoi bon? On peut le faire en cherchant un petit peu…
Ca fait un moment que je me demande s’il n’y a pas une vrai arnaque commercial sur le bio. Je ne parle pas des grandes surfaces qui se sont engouffrées dans le secteur, dès qu’elles ont vues ce qu’elles pouvaient en tirer. Elles en profitent, d’ailleurs sans doute, pour peser de tout leur poids pour alléger les cahiers des charges du bio. Mais, la vraie question, c’est pourquoi le bio coûtent si cher? En effet, voilà une agriculture qui n’a pas besoin de dépenser pour les produits chimiques qu’utilise l’agriculture non bio. Donc, un prix de revient bien moindre. Ou est l’arnaque? Je sais que les labels coûtent très chers, et qu’ils impactent sur le prix de revient. Mais, en fait, a-t-on besoin de ces labels? Les gens sont-ils devenus si malhonnêtes, qu’il faillent des labels pour certifier leurs honnêteté? J’ai connu le monde des normes. Et je sais très bien, qu’il n’ait pas un gage de sécurité total. Loin de là.
bonjour
Un grand merci pour toutes ces informations, devant la somme de données, on ne sait plus trop quoi acheter en bio, alors ce petit récapitulatif et le bienvenu sur mon réfrigérateur.
Je mange Bio depuis 35 ans et viticulture ce Bio depuns 1973 et je sais de quoi est fait l’agriculture chimique voilà pourquoi aujourd’hui on est arrivé à ce stade si tout le monde refuse ces produits conventionnelles le prix baisseraient déjà et c’est pas plus cher si on utilise que ce que l’on a besoin et moi j’ai toujours préfère me priver sur les vacances et tous les superflus mais bien nourriture mes enfants et nous même chacun choisir mais pour moi la santé est le premier guerre de la guerre chacun choisi mais c’est très possible de se nourrir Bio annick
L’expérience montre que si l’on mange « bio », on est bien nourri avec des quantités nettement moindres. Cela compense la différence de prix.
D’autre part, la recherche du prix le plus bas est justement ce qui a conduit l’agriculture à produire de grandes quantités de camelote.
Il faut apprendre à distinguer quels sont nos besoins réels.
En lisant tous ces commentaires, que cela est bien démoralisant.
BIO, certes, mais, effectivement, si le voisinage lui balance les pires saletés sur ses cultures, puis, que celles-ci se retrouvent dans les nappes phréatiques ou la rivière qui passe non loin, à quelle « concentration » peut-on dire que cela est encore biologique au sens strict du mot.
Pour les produits transformés, désolé, mais il ne m’est guère possible de m’approvisionner en direct et en frais toutes les semaines ou mois, personne ne parle jamais DES EMBALLAGES.
Je serais étonné qu’ils ne posent aucun problème, en particulier, migration de certaines substances dans l’aliment.
Pour finir, ayant reçu ce matin la lettre de Néo-Nutrition, je suis plus étonné par la liste des produits ne posant, soit-disant, aucun souci en conventionnels.
Ne serait-ce que la mangue : une personne d’une boutique où j’allais, avait dit à une cliente que en vacances, elle avait été « horrifiée » par tous ce qu’ils balançaient dessus !!
Bonjour, merci pour tous ces bons conseils. Juste pour dire que blueberry ne signifie pas bleuet, mais myrtilles. …à bientôt